Arber Xhekaj perd un bon ami: «C’est dur»
TVA Nouvelles
Même s’il se réjouit de l’expérience qu’Alexandre Carrier apportera à la ligne bleue, Arber Xhekaj est attristé par le départ de Justin Barron, l’un de ses plus grands amis au sein des Canadiens de Montréal.
«Nous avons noué des liens très étroits dans les trois dernières années, a confié le robuste défenseur après l’entraînement matinal de jeudi. C’est un individu fantastique, le genre de personne qui ferait tout pour toi. Si tu avais besoin d’aide, tu appelais JB, il est prêt à tout.»
Les deux hommes ont pu passer de bons moments ensemble, mercredi soir, avant de voir leurs chemins se séparer.
«C’est dur, a souligné Xhekaj. Le pire aspect de ce boulot, c’est perdre des amis.»
Celui qu’on surnomme le Shérif avait tenté de sonner les cloches du nouveau venu Alexandre Carrier lors d’une récente visite des Predators de Nashville au Centre Bell. Avec peu de succès, cependant.
Depuis la dernière victoire de la Coupe Stanley à Montréal, internet a été rendu accessible au grand public, la Super Nintendo n’est plus la console de jeux la plus vendue et la Macarena de Los de Rio n’est plus la chanson de la plus populaire au monde. C’est beaucoup de temps sans euphorie. Surtout pour un marché aussi important dans l’histoire du hockey. Mais vous verrez qu’on n’est pas les seuls à s’ennuyer dans le sport professionnel nord-américain depuis 30 ans.
La qualité au-delà du volume. Il semble que ce soit une nouvelle tendance dans la LNH. Un peu comme les joueurs de la NBA qui, depuis une dizaine d’années, préfèrent reculer d’un pas et tenter des tirs de trois points au lieu d’y aller avec un tir de deux points au taux de réussite un peu plus élevé.