Confrontation des 4 nations: la porte n’est pas complètement fermée pour Suzuki
TVA Nouvelles
«Je ne dirais pas que le fait de ne pas être allé au Championnat du monde a joué contre un joueur. Par contre, ceux qui y sont allés ont eu la chance de se faire valoir et de gagner des points.»
Directeur général adjoint de l’équipe canadienne qui prendra part à la Confrontation des 4 nations, Julien BriseBois s’est prêt à une tournée médiatique avec quelques membres de la presse montréalaise, lundi après-midi.
Il n’a eu besoin que d’une seule phrase pour résumer la situation de Nick Suzuki et Samuel Montembeault. On se rappellera que lors du dévoilement de la formation canadienne, le 4 décembre, plusieurs ont avalé leur café de travers en voyant que le nom du capitaine du Canadien n’apparaissait pas au sein des 13 attaquants retenus.
L’événement est souhaité et attendu depuis longuement, et la patience de milliers de partisans ou de néophytes du hockey sera récompensée ce soir : le duel-revanche Canada-États-Unis aura lieu au TD Garden de Boston, avec sur la table le titre de la Confrontation des 4 nations.
Avec le niveau de jeu semblable des Canadiens et des Américains, il ne serait pas surprenant de voir la finale de la Confrontation des 4 nations se rendre en prolongation. À travers les années, celle-ci a donné de très grands moments du hockey international.
La perte du défenseur Charlie McAvoy fera mal aux États-Unis en finale de la Confrontation des 4 nations, mais pourrait être encore plus douloureuse pour les Bruins de Boston.
Le président des États-Unis, Donald Trump, a pris la parole sur les réseaux sociaux jeudi matin afin d’exprimer son soutien à la formation de son pays qui disputera la finale de la Confrontation des 4 nations en soirée, match qu’il surveillera à distance.
La récente pause des activités régulières de la Ligue nationale de hockey ne semble pas avoir atténué la frustration reliée aux nombreuses défaites chez le Canadien de Montréal, les contacts à l’entraînement de mercredi au Centre Bell ayant été peu amicaux.
«Ils ont hué notre hymne national», «on s’est battu trois fois» et «on les a explosés dans LEUR PROPRE STADE». «L’AMÉRIQUE EST DE RETOUR.»
BOSTON | La possible présence de Donald Trump, la guerre économique, le contexte social-politique entre les deux pays qui s’affronteront en finale de la Confrontation des 4 nations : l’enjeu semble plus grand qu’un simple trophée en ferraille.
BOSTON | Matthew Tkachuk a beau être né d’une mère originaire de Winnipeg, il n’a rien de canadien en lui. De tous les joueurs américains, il est sans doute celui qui démontre le plus de patriotisme.
Les dernières semaines ont été plus difficiles pour Lane Hutson, le jeune défenseur perdant quelque peu sa touche magique, mais son entraîneur sait qu’il a toutes les qualités nécessaires pour rebondir.
Le retour au jeu tant attendu de David Reinbacher aura lieu mercredi soir du côté du Rocket de Laval.
Philippe Veilleux n’est pas Alexis Lafrenière ou Pierre-Luc Dubois. Il n’est pas pressenti comme la prochaine grande vedette de la Belle Province. Ce que Veilleux est, par contre, c’est possiblement l’espoir québécois de la dernière décennie qui détonne le plus.
Lorsque Stan Mikita était encore vivant, ses troubles cognitifs étaient tellement évidents que ses amis et ses membres de sa famille souffraient avec lui. Un de ses meilleurs amis, Bobby Hull a décidé de faire la même chose que Mikita, soit de donner son cerveau à la science à sa mort.
Les gardiens de but étaient identifiés comme une faiblesse du côté de la formation canadienne avant la Confrontation des 4 nations et après trois matchs, force est d’admettre que les performances de Jordan Binnington valident cette perception.