Une audience en personne pour Rempe
TVA Nouvelles
L’attaquant des Rangers de New York Matt Rempe aura droit à une audience en personne avec le Département de sécurité de la LNH en lien avec la mise en échec douteuse qui lui a valu une expulsion, vendredi soir.
Rempe, 22 ans, a appliqué une sévère et surtout, illégale mise en échec au défenseur des Stars de Dallas Miro Heiskanen dans une victoire de 3 à 1 des Rangers.
Une mêlée s’en est suivi et Rempe a ensuite été chassé du match.
Une audience en personne peut signifier que Rempe recevra une suspension de cinq matchs ou plus. Le Département de sécurité n’a pas spécifié le moment où elle aura lieu pour l’instant.
S’il doit être suspendu, il s’agira d’une deuxième sanction du genre pour Rempe dans la LNH, en seulement 22 matchs. En mars dernier, le colossal et robuste attaquant avait été suspendu pour quatre matchs à la suite d’une mise en échec illégale à l’endroit du défenseur des Devils du New Jersey Jonas Siegenthaler.
Patrik Laine demeure très critique de son jeu même s’il a inscrit six buts à ses sept premiers matchs et les statistiques lui donnent raison.
Il y aura des «négociations» entre les représentants du Canadien de Montréal présents en Russie et le SKA de Saint-Pétersbourg, aujourd'hui, au sujet d'Ivan Demidov.
Un autre match au Centre Bell, une autre raclée. Sauf que cette fois, c’est le Canadien qui a joué le rôle de l’agresseur. Avec Patrik Laine dans le rôle de l’intimidateur en chef.
Malgré ses nombreux ennuis sur la patinoire, le Canadien de Montréal a une chance en or de gagner un échelon dans la section Atlantique, car un gain face aux pauvres Sabres de Buffalo, mardi au Centre Bell, pourrait lui permettre de les dépasser au classement.
Un seul joueur des Canadiens de Montréal se retrouve sur la liste de 30 joueurs susceptibles d’être échangés et dignes d’intérêt concoctée par le réputé journaliste de The Athletic Chris Johnston.
Ivan Demidov a joué devant certains membres de l’état-major du Canadien de Montréal, dont le directeur général Kent Hughes, mardi.
Depuis la dernière victoire de la Coupe Stanley à Montréal, internet a été rendu accessible au grand public, la Super Nintendo n’est plus la console de jeux la plus vendue et la Macarena de Los de Rio n’est plus la chanson de la plus populaire au monde. C’est beaucoup de temps sans euphorie. Surtout pour un marché aussi important dans l’histoire du hockey. Mais vous verrez qu’on n’est pas les seuls à s’ennuyer dans le sport professionnel nord-américain depuis 30 ans.
On a droit à un début de saison assez étrange pour les Canadiens qui s’explique de plusieurs façons.
«Je ne dirais pas que le fait de ne pas être allé au Championnat du monde a joué contre un joueur. Par contre, ceux qui y sont allés ont eu la chance de se faire valoir et de gagner des points.»
Juraj Slafkovsky peine à mettre le doigt sur ce qui ne fonctionne pas dans son jeu cette saison, mais une chose est sûre, il ne puisera pas de l'inspiration dans les articles rédigés par les membres de la presse.
Plusieurs joueurs de location des Canadiens de Montréal se retrouveront sur le marché au cours des prochaines semaines, mais il ne faut pas croire pour autant que le directeur général Kent Hughes cherche à ajouter à une banque d’espoirs et de choix déjà pleine à craquer.