Dix personnalités sportives qui n’ont pas été sages et qui ne méritent pas de cadeaux
TVA Nouvelles
La fin de l’année est généralement l’occasion de revenir sur les exploits de certains athlètes, sur les décisions géniales de certaines organisations et sur des moments qui ont marqué positivement le merveilleux monde du sport. C’est bien beau tout ça, mais il ne faut surtout pas croire que tous les athlètes et dirigeants sportifs ont été sages au point de pouvoir découvrir de belles surprises sous le sapin. Pour conclure 2024, voici une rétrospective de 10 personnalités du monde du sport qui méritent bien plus une sévère réprimande qu’un beau cadeau.
Difficile de trouver quelqu’un qui a plus embarrassé le Canada au grand complet que la sélectionneuse de l’équipe nationale de soccer féminin, Bev Priestman. Elle était à la tête de l’équipe quand le scandale d’espionnage par drone des adversaires néo-zélandaises a éclaboussé tout le pays aux Jeux de Paris, cet été. Les joueuses, qui ont dû naviguer à travers ce scandale, n’y pouvaient rien et une enquête a révélé après le tournoi que Priestman donnait directement les ordres dans le cadre d’une culture d’espionnage bien implantée au sein du programme canadien. Avantage marqué pour certains, tempête dans un verre d’eau pour d’autres. Il n’en demeure pas moins qu’un tel système de tricherie international, ce n’est pas chic! Priestman a perdu son poste avec l’équipe canadienne et elle est suspendue un an par la FIFA. Le père Noël ne récompense pas de tels comportements.
On se doutait bien dans les dernières semaines que quelque chose ne tournait pas rond chez les Rangers de New York. Mais voilà que la cascade d’événements qui a plongé l’organisation dans une véritable crise est documentée par le journaliste Vincent Z. Mercogliano du Rockland/Westchester Journal News dans un article coup de poing.