Une défaite en finale toujours difficile à accepter pour Carey Price
Le Journal de Montréal
Carey Price est revenu sur la finale de la Coupe Stanley que le Canadien de Montréal a perdue face au Lightning de Tampa Bay l'été dernier, indiquant qu’il avait toujours de la difficulté à accepter la défaite.
• À lire aussi: Retrouvailles gâchées
La formation de la Floride avait vaincu le Tricolore en cinq parties. Il s’agit d’une première finale pour le Canadien depuis 1993 et d’une première pour Price à sa 14e campagne en carrière.
«Même aujourd’hui, c’est encore dur à comprendre, a lancé Price après la séance d’entraînement du jour. Ne pas avoir eu cette opportunité pour 14 ans, et ensuite l’avoir, être si près et si loin en même temps. C'est quelque chose que je suis encore en train de surmonter.»
Le genou tient bon
Par ailleurs, Price est revenu sur son premier match de la saison, expliquant que son genou tenait bon. Il n’a toutefois pas donné de détails quant à son utilisation probable d’ici la fin de la saison, indiquant malgré tout qu’il y avait un plan en place. Le Tricolore a encore six matchs à jouer avant d’être en vacances.
Il a également lancé des fleurs à Samuel Montembeault, qui a tenu le fort en son absence et celle de Jake Allen.
«Je pense qu’il est un bon gardien. Je l’ai regardé à l’entraînement. Il est imposant, réagit bien, bouge bien pour un gars de sa stature. Je pense qu’on peut jouer mieux devant lui, mais je crois qu’il est un très bon gardien.»
Mondial ou non?
Personne à 16 ans ne devrait mesurer 7 pi et peser 273 lb. C’est le cadeau, parfois empoisonné, que la nature a donné au défenseur Alexander Karmanov, timide géant au potentiel incalculable ayant quitté la Biélorussie pour poursuivre son développement aux États-Unis. Il est, jusqu’à preuve du contraire, le plus grand hockeyeur au monde, selon les données que nous avons pu colliger.