Frédérick Gaudreau a perdu son mentor: «Ça a été triste de le voir partir»
Le Journal de Montréal
MINNEAPOLIS | Les congédiements d’entraîneurs sont monnaie courante dans le sport professionnel. Confrontés à cette réalité, les joueurs en font habituellement peu de cas. Sauf quand cet entraîneur est celui qui vous a aidé à gravir les échelons jusqu’à la LNH. À ce moment-là, le choc est un peu plus ressenti.
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C’est ce qu’a vécu Frédérick Gaudreau lorsque la direction du Wild du Minnesota a congédié Dean Evason, le 27 novembre.
«Ça a été triste de le voir partir. Dean et moi, on avait une très belle relation depuis plusieurs années. Depuis mes saisons à Milwaukee, dans la Ligue américaine», a raconté Gaudreau, joint au téléphone mardi après-midi.
«C’est l’entraîneur pour qui j’ai joué le plus. Et je suis possiblement le joueur qu’il a dirigé le plus souvent. C’est une personne que j’apprécie beaucoup», a-t-il poursuivi.
Evason était à la barre des Admirals de Milwaukee, club-école des Predators de Nashville, lorsque Gaudreau a amorcé sa carrière dans la Ligue américaine en 2014-2015.
Personne à 16 ans ne devrait mesurer 7 pi et peser 273 lb. C’est le cadeau, parfois empoisonné, que la nature a donné au défenseur Alexander Karmanov, timide géant au potentiel incalculable ayant quitté la Biélorussie pour poursuivre son développement aux États-Unis. Il est, jusqu’à preuve du contraire, le plus grand hockeyeur au monde, selon les données que nous avons pu colliger.