DANS LA MIRE DU CH? | «Je ne changerai pas pour les gens» -Cole Eiserman
Le Journal de Montréal
D'ici le repêchage, TVA Sports et Le Journal publieront et diffuseront plusieurs reportages sur les joueurs que le Canadien pourrait obtenir avec son précieux premier choix le vendredi 28 juin.
Cole Eiserman était, il y a à peine quelques mois, perçu comme un prétendant logique à la chaise de tout premier choix au total du repêchage de 2024. Il est aujourd’hui exclu du top 10 de plusieurs experts.
Mais il semble n’en avoir rien à cirer.
Cette déclaration du jeune homme, faite lors d’un récent entretien avec TVASports.ca, représente parfaitement le genre de garçon qu’est Eiserman.
Un athlète confiant au possible dont le mental semble aussi solide que de l’acier trempé.
N’empêche, la baisse de popularité d’Eiserman demeure mystérieuse, donc intéressante à aborder.
Après tout, les buteurs purs comme lui sont extrêmement rares. Et des buts, il en a marqué des tonnes, cette saison.
Ainsi, avec un tel talent de marqueur, comment diable expliquer sa dégringolade aux yeux des analystes?
L’auteur de ces lignes a justement ciblé deux aspects du jeu d’Eiserman qui soulèvent des questions et... les a soumis au principal intéressé, qui a bien aimé l'idée.
Félix Auger-Aliassime a eu toutes les raisons de croire que sa folle et étrange épopée à Madrid, marquée par le forfait de trois de ses rivaux, se conclurait par le plus prestigieux titre de sa carrière. Mais le Québécois a finalement perdu sa première finale dans un Masters 1000 au terme d’une longue bagarre, dimanche.
Pendant cinq ans, entre 2011 et 2016, les titres de la catégorie Masters 1000 comme celui que tentera de ravir Félix Auger-Aliassime à Madrid, dimanche à compter de 12h30, ont été presque exclusivement remporté par les membres d’un quatuor de légende: Novak Djokovic, Roger Federer, Rafael Nadal et Andy Murray.