Félix Auger-Aliassime abandonne à deux semaines de Wimbledon
Le Journal de Montréal
À deux semaines du tournoi mythique de Wimbledon, Félix Auger-Aliassime a été contraint à l’abandon en plein match, lundi, à Halle, en Allemagne. Mais cette blessure n’a rien de grave, a laissé savoir son entourage au Journal, et ne devrait pas compromettre sa présence sur le gazon du All England Club.
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«FAA» tirait de l’arrière 6-4 et 4-3 quand il a renoncé à poursuivre l’affrontement contre le 70e joueur mondial, l’Allemand Dominik Koepfer. Après avoir perdu le premier point du huitième jeu, la huitième tête de série s’est rendue au filet pour féliciter sur son rival, tout en lui expliquant qu'il ne pouvait pas poursuivre.
Plus tôt dans la seconde manche, le Québécois avait glissé sur le gazon durant un échange.
La blessure n’est toutefois pas liée à cette douleur aux adducteurs qu’a ressentie Félix en ronde des 16 à Roland-Garros, dans sa défaite aux mains de l’Espagnol Carlos Alcaraz.
Cette fois-là, Auger-Aliassime était toutefois parvenu à terminer le match. La rencontre de premier tour à Halle était sa première depuis son revers à Paris, dans lequel il avait commencé à peiner physiquement durant le set initial.
Ce forfait a d’ailleurs surpris Koepfer, qui ne l’avait manifestement pas vu venir. «Je ne pense pas que ce soit sérieux, a lui-même émis l’Allemand après la rencontre, tout en mentionnant que c'est une hanche qui semblait embêter Auger-Aliassime. Il va être de retour sur pied bientôt.»
Mais ce retrait vient malheureusement réduire le temps de préparation du 18e mondial en prévision de Wimbledon. Félix, 23 ans, n’a pas gagné un seul match sur gazon depuis deux ans.
Le Québécois devrait toutefois être en action au Boodles, près de Londres, la semaine prochaine. Il s’agit d’une exhibition huppée où les participants sont assurés de disputer quelques rencontres.
Personne à 16 ans ne devrait mesurer 7 pi et peser 273 lb. C’est le cadeau, parfois empoisonné, que la nature a donné au défenseur Alexander Karmanov, timide géant au potentiel incalculable ayant quitté la Biélorussie pour poursuivre son développement aux États-Unis. Il est, jusqu’à preuve du contraire, le plus grand hockeyeur au monde, selon les données que nous avons pu colliger.