Les chiffres le prouvent: Joshua Roy est encore dominant offensivement et son jeu défensif progresse
Le Journal de Montréal
Le Canadien a renvoyé Joshua Roy à Laval après un camp d’entraînement décevant afin qu’il continue à travailler sur son développement. Qu’en est-il? Le jeune Beauceron se rapproche-t-il d’un rappel à Montréal? On a posé la question à nos robots.
Avec les données offertes par nos partenaires de Sportlogiq, on confirme une chose: sans trop de surprise, Roy est encore une fois dominant offensivement dans la Ligue américaine de hockey (LAH).
Il compte 13 points en 14 matchs jusqu’ici, ce qui se veut un meilleur ratio de points par rencontre que celui de la saison passée et qui le mènerait vers une production de 67 points en 72 parties cette saison.
Mais, outre les points, on réalise que Roy a amélioré son rendement dans la majorité des statistiques offensives clés: il dirige plus de tirs au filet, crée plus de chances de marquer, réussit plus de tirs de l’enclave et contrôle la rondelle plus longtemps en zone offensive que l’an dernier.
Évidemment, c’est positif autant pour le jeune ailier que pour le Canadien, qui, inévitablement, aura besoin des qualités offensives de Roy dans son alignement.
C’était d’ailleurs ce qui avait fait défaut pour lui lors du dernier camp d’entraînement, et il avait lui-même reconnu ne pas avoir créé grand-chose en attaque.
Et défensivement, maintenant?
Personne à 16 ans ne devrait mesurer 7 pi et peser 273 lb. C’est le cadeau, parfois empoisonné, que la nature a donné au défenseur Alexander Karmanov, timide géant au potentiel incalculable ayant quitté la Biélorussie pour poursuivre son développement aux États-Unis. Il est, jusqu’à preuve du contraire, le plus grand hockeyeur au monde, selon les données que nous avons pu colliger.