Quentin Miller, Joshua Roy et Jayden Struble en confiance dans un gain contre les Bruins
Le Journal de Montréal
BUFFALO | Les Bruins de Boston n’avaient pas le talent et la rapidité des Sabres, mais le Canadien a contrôlé un élément essentiel, à son deuxième match du tournoi des recrues, en chassant la nervosité.
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Plus calme et plus confiant, le CH a triomphé des espoirs des Bruins 4 à 1, samedi, au LECOM Harborcenter, le centre d’entraînement des Sabres.
« Nous avons mieux joué défensivement et nous avons fait plus attention aux détails, a noté Jean-François Houle. J’ai bien aimé le match de [Jayden] Struble. Je l’ai trouvé physique et engagé. Joshua Roy a aussi connu un meilleur match et Filip Mesar était meilleur au centre. Devant le filet, j’ai aussi trouvé Miller très bon. Il a réalisé plusieurs arrêts clés. »
« Pour vendredi, ça faisait longtemps que nous n’avions pas joué un véritable match, a renchéri Roy. C’était donc plus difficile de trouver notre rythme. Je sentais que nous retrouvions notre rythme aujourd’hui. »
Roy a été un des moteurs offensifs dans cette rencontre contre les Bruins avec un but et une passe. Jan Mysak a aussi écrit son nom à deux reprises sur la feuille de pointage avec également un but et une passe.
« Je me suis senti tellement mieux que lors du premier match qui était décousu, a souligné Mysak, un choix de deuxième tour en l’an 2000. Contre les Sabres, nous avions mal joué comme équipe et c’était la même chose pour moi. C’était complètement différent cette fois, on a joué en équipe et avec une meilleure intensité. »
Pour ce deuxième match en moins de 24 heures à Buffalo, le Canadien avait choisi de reposer certains de ses gros noms. David Reinbacher, Owen Beck, Sean Farrell et William Trudeau n’ont pas joué contre les Bruins.
Personne à 16 ans ne devrait mesurer 7 pi et peser 273 lb. C’est le cadeau, parfois empoisonné, que la nature a donné au défenseur Alexander Karmanov, timide géant au potentiel incalculable ayant quitté la Biélorussie pour poursuivre son développement aux États-Unis. Il est, jusqu’à preuve du contraire, le plus grand hockeyeur au monde, selon les données que nous avons pu colliger.