Voyez un extrait de la 2e saison de «Sorcières»
Le Journal de Montréal
Un extrait du premier épisode de la deuxième saison de la série annuelle Sorcières, qui sera dorénavant diffusée le mardi, à 20h, à TVA, a été dévoilé vendredi, histoire de mettre l’eau à la bouche des téléspectateurs.
On peut y voir Véronique (Julie Roussel), qui va finalement à la rencontre de sa mère Manon (Louise Laparé) après des années de silence. Que se diront-elles pour casser la glace?
On a également hâte de savoir ce qu’il advient de Marie-Eve (Marie-Claude Guérin) et du petit Clovis, qui ont été séquestrés par l’inquiétant facteur Fred (Maxime Genois).
Quant aux trois demi-sœurs au cœur des intrigues, Joe (Céline Bonnier), Beth (Marie-Joanne Boucher) et Agnès (Noémie O’Farrell), leur dernière conversation ne s’est pas bien déroulé, alors comment se retrouveront-elles pour continuer à élucider leur jeunesse trouble?
On commencera à avoir des réponses à compter du mardi 10 septembre, à 20h, à TVA.
Parce que les artistes francophones peinent à se faire entendre sur les grandes plateformes d’écoute en continu, comme Spotify et Apple Music, une nouvelle initiative québécoise sera lancée l’an prochain, a appris Le Journal. L’application MUSIQC sera «un nouvel espace gratuit d’écoute musicale dédié à la promotion et à la mise en valeur de la musique francophone».
Michel Barrette ne veut plus du tout parler de retraite. Alors qu’il y a cinq ans il annonçait vouloir faire un «dernier tout de piste» avec son spectacle solo, L’humour de ma vie, l’humoriste de 67 ans a changé d’idée. «Je prendrai ma retraite quand les gens décideront», lance celui qui se voit maintenant monter sur scène jusqu’à... 85 ans minimum!
Deux ans après avoir été exclue d’un palmarès des 200 plus grands chanteurs de tous les temps du Rolling Stone, Céline Dion a de nouveau été snobée par un grand magazine américain: cette fois, c’est le Billboard qui ne lui a pas trouvé de place dans un classement des plus grandes vedettes pop du 21e siècle.
Peu d’actrices au Québec peuvent se targuer, comme elle, d’avoir traversé quatre décennies en multipliant les rôles majeurs au petit et au grand écran. À 56 ans, Pascale Bussières s’émerveille elle-même du chemin parcouru depuis qu’elle a été révélée en 1984 dans le film Sonatine. «J’ai parfois du mal à y croire parce que j’aborde encore chaque nouveau projet comme si c’était le premier», confie-t-elle en entrevue.