Voici le bilan de la première année du REM
TVA Nouvelles
Il y a un an, c’était le grand jour pour le Réseau express métropolitain (REM) qui soulignait son inauguration officielle. Une année marquée par de grands défis, notamment par plusieurs interruptions de service.
• À lire aussi: Travaux du REM: de la moisissure dans le tunnel Mont-Royal
• À lire aussi: REM: voici tout ce qu’il faut savoir lors d’une panne
• À lire aussi: Travaux du REM: des employés inquiets de la qualité de l’air dans le tunnel
Plus de 60 000 personnes ont afflué aux abords des stations, il y a un an, à l’inauguration officielle du REM, où ils pouvaient emprunter gratuitement le premier métro léger reliant Brossard, L’Île-des-Sœurs et la Gare Centrale.
La mise en service officielle du REM, le 31 juillet dernier, a été un moment «historique» marqué par une interruption de service, défendue comme «un faux départ».
La CDPQ Infra, dans son bilan de la dernière année, répertorie 65 pannes de service du REM.
Ce ne sont pas toutes les nouvelles constructions d’écoles qui ont prévu un système pour rafraîchir les classes. Certains bâtiments qui ont à peine une dizaine d’années n’ont ni climatisation, ni géothermie, ni aérothermie, révèlent les données obtenues par Le Journal. Ce genre d’exemples a de quoi faire sursauter plusieurs parents et enseignants qui jugent que le Québec est mûr pour une stratégie globale, tandis que le ministère de l'Éducation s’en remet à la bonne volonté des organismes scolaires.
Dans notre société, la façon dont sont perçus les enseignants est très variable. Pour certains, ils sont des gens dévoués qui portent le réseau scolaire public à bout de bras. Pour d’autres, ils sont d’éternels « chiâleurs » syndiqués grassement payés. Si cette dernière hypothèse était vraie, on peut se demander alors pourquoi il n’y a pas plus d’individus qui veulent travailler dans nos écoles...