Des résidences pour aînés forcés de révéler des renseignements personnels
TVA Nouvelles
Des enquêteurs du ministère de la Santé et des Services sociaux obligeraient les résidences privées pour aînés (RPA) à fournir des informations sur leurs citoyens sans leur consentement, ce qui est critiqué par le PDG d’un regroupement pour RPA.
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Les renseignements devraient être transmis au ministère provincial pour des enquêtes, des évaluations et des inspections.
Si les RPA ne veulent pas obéir, ils pourraient recevoir des contraventions de 1200 $.
La situation est dénoncée par plusieurs organisations, dont le Regroupement québécois des Résidences pour Aînés (RQRA).
«Ce qu’on essaie de faire, c’est qu’on refuse de donner l’information pour l’instant parce qu’ils nous demandent les noms de chacun de nos aînés, leur adresse et leur date de naissance», a expliqué Marc Fortin, PDG du RQRA.
Ce ne sont pas toutes les nouvelles constructions d’écoles qui ont prévu un système pour rafraîchir les classes. Certains bâtiments qui ont à peine une dizaine d’années n’ont ni climatisation, ni géothermie, ni aérothermie, révèlent les données obtenues par Le Journal. Ce genre d’exemples a de quoi faire sursauter plusieurs parents et enseignants qui jugent que le Québec est mûr pour une stratégie globale, tandis que le ministère de l'Éducation s’en remet à la bonne volonté des organismes scolaires.
Dans notre société, la façon dont sont perçus les enseignants est très variable. Pour certains, ils sont des gens dévoués qui portent le réseau scolaire public à bout de bras. Pour d’autres, ils sont d’éternels « chiâleurs » syndiqués grassement payés. Si cette dernière hypothèse était vraie, on peut se demander alors pourquoi il n’y a pas plus d’individus qui veulent travailler dans nos écoles...