Doute et confusion: Air Canada simplifie ses délais d’enregistrement
TVA Nouvelles
Pour mettre fin au doute et à la confusion provoqués par des délais d’enregistrement multiples selon les destinations, Air Canada a décidé de les simplifier en les uniformisant à 60 minutes pour la plupart des vols.
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«Peu importe où et pourquoi vous voyagez, la commodité et la tranquillité d’esprit sont primordiales. C’est pourquoi nous simplifions nos délais limites d’enregistrement, afin de rendre votre expérience encore plus fluide», a déclaré la compagnie aérienne sur son site Internet.
Depuis le 4 septembre, les passagers doivent désormais s’enregistrer au plus tard 60 minutes avant leur départ, pour les vols domestiques ou internationaux, à l’exception de l’aéroport de Toronto (YTZ), où le délai passe à 30 minutes.
Avant ce changement, les délais d’enregistrement pour les vols intérieurs étaient de 45 minutes avant le départ dans tous les aéroports, sauf à YTZ où le délai était de 20 minutes.
Cette nouvelle politique, qui est entrée en vigueur le 4 septembre, permet également de traiter les demandes de surclassement 15 minutes plus tôt.
«Bien sûr, vous devriez continuer à vous enregistrer à l’avance, jusqu’à 24 heures avant l’heure de départ de votre vol, en ligne ou sur l’application Air Canada. Assurez-vous simplement de vous enregistrer et d’obtenir votre carte d’accès à bord au plus tard 60 minutes avant l’heure de départ prévue de votre vol», a ajouté Air Canada.
Ce ne sont pas toutes les nouvelles constructions d’écoles qui ont prévu un système pour rafraîchir les classes. Certains bâtiments qui ont à peine une dizaine d’années n’ont ni climatisation, ni géothermie, ni aérothermie, révèlent les données obtenues par Le Journal. Ce genre d’exemples a de quoi faire sursauter plusieurs parents et enseignants qui jugent que le Québec est mûr pour une stratégie globale, tandis que le ministère de l'Éducation s’en remet à la bonne volonté des organismes scolaires.
Dans notre société, la façon dont sont perçus les enseignants est très variable. Pour certains, ils sont des gens dévoués qui portent le réseau scolaire public à bout de bras. Pour d’autres, ils sont d’éternels « chiâleurs » syndiqués grassement payés. Si cette dernière hypothèse était vraie, on peut se demander alors pourquoi il n’y a pas plus d’individus qui veulent travailler dans nos écoles...