Un adolescent tétraplégique inspire son équipe de baseball
TVA Nouvelles
Un adolescent du Saguenay – Lac-Saint-Jean, qui a dû abandonner la pratique après un accident, inspire désormais son équipe de baseball en tant qu’entraîneur-adjoint.
À 12 ans, Édouard Tremblay a dû abandonner le baseball en raison d'un accident qui le condamne à un fauteuil roulant. Aujourd’hui âgé de 15 ans, il agit maintenant comme entraîneur-adjoint de l'équipe de baseball, qui compte un grand nombre de ses amis.
L’adolescent a vu sa résilience être récompensée par le Regroupement loisirs et sports Saguenay – Lac-Saint-Jean. Il n'est définitivement pas un entraîneur adjoint comme les autres.
«Moi, je ne peux plus jouer, mais je rappelle aux joueurs la chance qu'ils ont», a-t-il confié dans une vidéo tournée pour le compte du Regroupement loisirs et sports Saguenay – Lac-Saint-Jean.
Édouard Tremblay était un excellent joueur de baseball plus jeune, un passionné qui n'abandonnait jamais. Toutefois, en juillet 2022 et alors qu’il n’avait que 12 ans, la vie lui a servi une terrible balle courbe.
Alors qu'il se trouvait chez un ami près de la piscine, il a glissé, tombant directement sur le cou. Bilan : trois vertèbres fracturées, une quatrième fêlée. La paralysie de ses quatre membres et les lésions à la moelle épinière le laissent tétraplégique.
Deux ans plus tard, il agit comme entraîneur-adjoint des athlétiques d'Alma U15, qui sont d’ailleurs dirigés par son père.
Ce ne sont pas toutes les nouvelles constructions d’écoles qui ont prévu un système pour rafraîchir les classes. Certains bâtiments qui ont à peine une dizaine d’années n’ont ni climatisation, ni géothermie, ni aérothermie, révèlent les données obtenues par Le Journal. Ce genre d’exemples a de quoi faire sursauter plusieurs parents et enseignants qui jugent que le Québec est mûr pour une stratégie globale, tandis que le ministère de l'Éducation s’en remet à la bonne volonté des organismes scolaires.
Dans notre société, la façon dont sont perçus les enseignants est très variable. Pour certains, ils sont des gens dévoués qui portent le réseau scolaire public à bout de bras. Pour d’autres, ils sont d’éternels « chiâleurs » syndiqués grassement payés. Si cette dernière hypothèse était vraie, on peut se demander alors pourquoi il n’y a pas plus d’individus qui veulent travailler dans nos écoles...