Apple présente ses nouveaux iPhone dotés de son IA générative
TVA Nouvelles
Apple a présenté lundi sa nouvelle gamme d'iPhone, les premiers iPhone dotés d'Apple Intelligence, son nouveau système d'intelligence artificielle (IA) générative, la technologie vedette de la Silicon Valley dans laquelle le groupe californien est très attendu.
• À lire aussi: Pourquoi les nouveaux téléphones à l’intelligence artificielle générative fascinent et inquiètent?
«Nous sommes ravis de présenter les premiers iPhone conçus dès le départ pour Apple Intelligence et ses capacités révolutionnaires», a simplement déclaré Tim Cook, le patron de la firme à la pomme, dans une vidéo diffusée au siège à Cupertino (Californie) et en ligne.
Pour faire durer le suspense lors de sa conférence intitulée «C'est le moment de briller», l'entreprise a ensuite lancé ses nouvelles montres connectées (Apple Watch).
Le groupe californien joue gros sur ses nouveaux iPhone, alors que son voisin Google et surtout le Sud-Coréen Samsung, numéro un mondial des iPhones, ont déjà lancé des combinés infusés à l'IA générative.
Et Apple a besoin d'un argument de vente pour relancer ses téléphones, en légère perte de vitesse. Pour la période d'avril à juin, le chiffre d'affaires des iPhone a baissé de 1% sur un an, à 39 milliards de dollars.
«Ces nouveaux iPhone sont très importants. C'est la catégorie de produits la plus rentable d'Apple et le rouage essentiel de son univers en pleine expansion de services et d'abonnements, sa deuxième activité la plus rentable», a souligné Gadjo Sevilla, analyste chez Emarketer.
Ce ne sont pas toutes les nouvelles constructions d’écoles qui ont prévu un système pour rafraîchir les classes. Certains bâtiments qui ont à peine une dizaine d’années n’ont ni climatisation, ni géothermie, ni aérothermie, révèlent les données obtenues par Le Journal. Ce genre d’exemples a de quoi faire sursauter plusieurs parents et enseignants qui jugent que le Québec est mûr pour une stratégie globale, tandis que le ministère de l'Éducation s’en remet à la bonne volonté des organismes scolaires.
Dans notre société, la façon dont sont perçus les enseignants est très variable. Pour certains, ils sont des gens dévoués qui portent le réseau scolaire public à bout de bras. Pour d’autres, ils sont d’éternels « chiâleurs » syndiqués grassement payés. Si cette dernière hypothèse était vraie, on peut se demander alors pourquoi il n’y a pas plus d’individus qui veulent travailler dans nos écoles...