Découvrez le moment où les gens seraient le plus actifs sexuellement
TVA Nouvelles
Le samedi soir serait le meilleur moment de la semaine pour avoir des rapports sexuels, selon un sondage mené auprès de 2000 participants.
C’est la compagnie de lingerie «Pour Moi» qui a lancé cette consultation auprès de répondants de partout dans le monde.
Les gens seraient plus actifs à 22 h 09, le samedi, selon 43 % des adultes qui ont participé à l’étude.
La deuxième journée la plus propice aux rapprochements est le vendredi, selon 22 % des participants. Le dimanche est en troisième position pour 10 % des répondants, alors que le jeudi suit avec 6 %.
Or, le début de la semaine ne serait pas propice au romantisme selon les répondants, puisque seulement 2 % d’entre eux ont mentionné qu’il s’agissait de leur moment préféré pour avoir des relations sexuelles. C’est d’ailleurs à 13 h 02 le lundi que les gens ont le moins envie d’être intimes avec leurs partenaires.
Pour ce qui est de la fréquence des rapports sexuels, 48 % des gens auraient au moins une relation sexuelle par semaine. Cette proportion baisse à 19 % pour ceux qui ont deux rapports sur une base hebdomadaire. Elle s’établit à 13 % pour les répondants qui en auraient trois fois et à 7 % pour ceux qui pratiqueraient cette activité quatre fois par semaine.
À noter que seulement 1 % des répondants auraient des relations sexuelles quotidiennement.
Ce ne sont pas toutes les nouvelles constructions d’écoles qui ont prévu un système pour rafraîchir les classes. Certains bâtiments qui ont à peine une dizaine d’années n’ont ni climatisation, ni géothermie, ni aérothermie, révèlent les données obtenues par Le Journal. Ce genre d’exemples a de quoi faire sursauter plusieurs parents et enseignants qui jugent que le Québec est mûr pour une stratégie globale, tandis que le ministère de l'Éducation s’en remet à la bonne volonté des organismes scolaires.
Dans notre société, la façon dont sont perçus les enseignants est très variable. Pour certains, ils sont des gens dévoués qui portent le réseau scolaire public à bout de bras. Pour d’autres, ils sont d’éternels « chiâleurs » syndiqués grassement payés. Si cette dernière hypothèse était vraie, on peut se demander alors pourquoi il n’y a pas plus d’individus qui veulent travailler dans nos écoles...