Procédure interdite: des Québécois amènent leur chat en Ontario pour les dégriffer
TVA Nouvelles
S’il est maintenant interdit de faire dégriffer son chat au Québec, certains contournent le règlement en amenant leur matou subir l’intervention en Ontario.
Bien qu’ils croient avoir trouvé une faille à la loi, ces Québécois s’exposent à des amendes en allant ailleurs pour faire dégriffer leur animal.
«La façon que le règlement est écrit présentement, ce n’est pas légal d’aller dans une autre province. Donc, les gens qui font ça s’exposent quand même à de potentielles amendes. Ce n’est pas sans risque comme pratique», a expliqué Eve-Lyne Bouchard, présidente de l’Association des médecins vétérinaires du Québec, en entrevue sur les ondes de LCN.
Elle a toutefois précisé qu’il peut s’avérer difficile de démontrer qu’un chat a été dégriffé en Ontario. «Ce n'est pas légal, mais c’est pas simple à surveiller», a-t-elle ajouté.
Il faut savoir que l’Ontario est désormais la seule province au pays à permettre cette pratique qui consiste à retirer la dernière phalange de chaque orteil des chats. «Le Québec était l’avant-dernière [province] à joindre le bal, donc il était temps. Mieux vaut tard que jamais», a indiqué Mme Bouchard.
Voyez l’entrevue complète dans la vidéo ci-haut.
Ce ne sont pas toutes les nouvelles constructions d’écoles qui ont prévu un système pour rafraîchir les classes. Certains bâtiments qui ont à peine une dizaine d’années n’ont ni climatisation, ni géothermie, ni aérothermie, révèlent les données obtenues par Le Journal. Ce genre d’exemples a de quoi faire sursauter plusieurs parents et enseignants qui jugent que le Québec est mûr pour une stratégie globale, tandis que le ministère de l'Éducation s’en remet à la bonne volonté des organismes scolaires.
Dans notre société, la façon dont sont perçus les enseignants est très variable. Pour certains, ils sont des gens dévoués qui portent le réseau scolaire public à bout de bras. Pour d’autres, ils sont d’éternels « chiâleurs » syndiqués grassement payés. Si cette dernière hypothèse était vraie, on peut se demander alors pourquoi il n’y a pas plus d’individus qui veulent travailler dans nos écoles...