Deux municipalités québécoises parmi les 10 meilleures villes universitaires au Canada
TVA Nouvelles
Loyers abordables, bons salaires et bière pas trop chère: deux municipalités québécoises se sont distinguées parmi les 10 meilleures villes universitaires au pays, selon un récent classement.
Trois-Rivières et Drummondville, qui abritent des universités et des cégeps, sont arrivées respectivement en 7e et 9e position du top réalisé par Preply, un fournisseur de services d'apprentissage en ligne.
Des données pour évaluer l'accessibilité financière, l'environnement social et les opportunités économiques provenant de plusieurs sources, dont Numbeo, TripAdvisor et Statistique Canada, ont été utilisées.
Jugée comme une «ville francophone abordable», Trois-Rivières doit sa place en raison de son loyer moyen de 600$, son salaire moyen de 3 177,98$ et un prix de la bière tournant autour des 7$, selon le classement.
De l’autre côté du fleuve, Drummondville affiche un loyer moyen de 1 372,50$, un salaire moyen de 3000$ et des bières qui coûtent près de 9$.
À la première place du classement se retrouve Moncton, au Nouveau-Brunswick, principalement en raison de sa réputation de seule ville officiellement bilingue au Canada, selon Preply. Le loyer moyen est estimé à 1 342,86$, le salaire moyen à 2 443,75$, tandis que prendre une bière ne coûte qu’environ 5$.
Moncton est suivie de Prince George, en Colombie-Britannique, et de Saint John, au Nouveau-Brunswick qui obtiennent les deux autres places dans le top 3.
D’autres villes québécoises se sont notamment illustrées un peu plus loin dans le classement: on retrouve ainsi Montréal en 12e position et Sherbrooke en 18e place.
Ce ne sont pas toutes les nouvelles constructions d’écoles qui ont prévu un système pour rafraîchir les classes. Certains bâtiments qui ont à peine une dizaine d’années n’ont ni climatisation, ni géothermie, ni aérothermie, révèlent les données obtenues par Le Journal. Ce genre d’exemples a de quoi faire sursauter plusieurs parents et enseignants qui jugent que le Québec est mûr pour une stratégie globale, tandis que le ministère de l'Éducation s’en remet à la bonne volonté des organismes scolaires.
Dans notre société, la façon dont sont perçus les enseignants est très variable. Pour certains, ils sont des gens dévoués qui portent le réseau scolaire public à bout de bras. Pour d’autres, ils sont d’éternels « chiâleurs » syndiqués grassement payés. Si cette dernière hypothèse était vraie, on peut se demander alors pourquoi il n’y a pas plus d’individus qui veulent travailler dans nos écoles...