Des numéros de cartes de crédit de clients de Ticketmaster piratés
TVA Nouvelles
Numéros de cartes de crédit, téléphone, courriel... des données de clients de Ticketmaster, hébergées sur une base de données infonuagiques d’un fournisseur, ont été piratées par un utilisateur non autorisé, a annoncé l'entreprise.
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«Les activités non autorisées ont eu lieu entre le 2 avril et le 18 mai 2024. Le 23 mai 2024, nous avons déterminé que certains de vos renseignements personnels peuvent avoir été affectés par l’incident», a prévenu par courriel l’entreprise à ses clients en début de semaine.
«Nous offrons aux clients concernés un service gratuit de surveillance de l’identité pendant 12 mois auprès d’un fournisseur de premier ordre», indique-t-on.
Interrogée à plusieurs reprises par Le Journal ces derniers jours, Ticketmaster n’a pas voulu dire combien de Québécois sont touchés par cette fuite de données.
«La Commission a reçu une déclaration d’incident de confidentialité de l’entreprise», a confirmé au Journal la Commission d’accès à l’information (CAI).
Chez Ticketmaster, on se limite à dire que «la tierce partie non autorisée peut avoir récupéré certains de vos renseignements personnels comme votre nom, vos coordonnées de base et les données de carte de paiement telles que le numéro crypté de votre carte de crédit ou de débit et sa date d'expiration».
Ce ne sont pas toutes les nouvelles constructions d’écoles qui ont prévu un système pour rafraîchir les classes. Certains bâtiments qui ont à peine une dizaine d’années n’ont ni climatisation, ni géothermie, ni aérothermie, révèlent les données obtenues par Le Journal. Ce genre d’exemples a de quoi faire sursauter plusieurs parents et enseignants qui jugent que le Québec est mûr pour une stratégie globale, tandis que le ministère de l'Éducation s’en remet à la bonne volonté des organismes scolaires.
Dans notre société, la façon dont sont perçus les enseignants est très variable. Pour certains, ils sont des gens dévoués qui portent le réseau scolaire public à bout de bras. Pour d’autres, ils sont d’éternels « chiâleurs » syndiqués grassement payés. Si cette dernière hypothèse était vraie, on peut se demander alors pourquoi il n’y a pas plus d’individus qui veulent travailler dans nos écoles...