Découvrez un nouvel extrait du film musical «Nos belles-soeurs»
Le Journal de Montréal
Un deuxième extrait du film musical Nos belles-sœurs a été dévoilé lundi matin.
Dans cette courte scène de 30 secondes, on peut voir l’acteur Benoit Brière sous les traits d’un animateur de bingo qui annonce le numéro d’une boule.
«Bingo, bingo, j’ai gagné!», s’exclame aussitôt Germaine Lauzon (Geneviève Schmidt).
Réalisé par René Richard Cyr, Nos belles-sœurs s’inspire de la célèbre pièce de Michel Tremblay, grand classique du théâtre québécois écrit au milieu des années 1960. Le film musical réunira à l’écran Geneviève Schmidt, Guylaine Tremblay, Anne-Élisabeth Bossé, Debbie Lynch-White, Véronic DiCaire, Valérie Blais, Diane Lavallée, Isabelle Blais et Ariane Moffatt, dans son premier rôle au cinéma.
Daniel Bélanger signe la musique du long métrage produit par Denise Robert, de Cinémaginaire (Testament, De père en flic), et distribué par TVA Films.
Nos belles-sœurs prendra l’affiche partout au Québec le 11 juillet prochain.
Parce que les artistes francophones peinent à se faire entendre sur les grandes plateformes d’écoute en continu, comme Spotify et Apple Music, une nouvelle initiative québécoise sera lancée l’an prochain, a appris Le Journal. L’application MUSIQC sera «un nouvel espace gratuit d’écoute musicale dédié à la promotion et à la mise en valeur de la musique francophone».
Michel Barrette ne veut plus du tout parler de retraite. Alors qu’il y a cinq ans il annonçait vouloir faire un «dernier tout de piste» avec son spectacle solo, L’humour de ma vie, l’humoriste de 67 ans a changé d’idée. «Je prendrai ma retraite quand les gens décideront», lance celui qui se voit maintenant monter sur scène jusqu’à... 85 ans minimum!
Deux ans après avoir été exclue d’un palmarès des 200 plus grands chanteurs de tous les temps du Rolling Stone, Céline Dion a de nouveau été snobée par un grand magazine américain: cette fois, c’est le Billboard qui ne lui a pas trouvé de place dans un classement des plus grandes vedettes pop du 21e siècle.
Peu d’actrices au Québec peuvent se targuer, comme elle, d’avoir traversé quatre décennies en multipliant les rôles majeurs au petit et au grand écran. À 56 ans, Pascale Bussières s’émerveille elle-même du chemin parcouru depuis qu’elle a été révélée en 1984 dans le film Sonatine. «J’ai parfois du mal à y croire parce que j’aborde encore chaque nouveau projet comme si c’était le premier», confie-t-elle en entrevue.