
Quand la culture mène au bien-être
Le Journal de Montréal
Dans son nouveau livre, Service essentiel, Émilie Perreault, journaliste culturelle, souhaite démontrer que la culture est non seulement un service essentiel, mais qu’elle est bénéfique pour notre santé et notre bien-être.
Certes, Service essentiel est un bon clin d’œil, après avoir traversé un confinement où la culture a été tout, sauf un service essentiel. « Durant la pandémie on s’est fait dire que la culture n’était pas essentielle et c’était normal, principalement lors du premier confinement, mais on envoyait le message que la culture n’était pas essentielle, tandis que lorsque je réfléchis à ce dont j’ai besoin pour vivre, la culture est très importante », confie l’auteure et journaliste culturelle Émilie Perreault. « Je dis toujours que je ne suis pas une artiste, mais j’ai besoin des arts dans ma vie. »
Ce livre est donc devenu un moyen de ramener la culture à l’avant-plan et de prendre soin de sa santé culturelle.
« J’avais l’idée de ce livre avant même la pandémie », précise celle qui a profité du confinement pour concrétiser son projet de livre. « Je voulais parler de santé culturelle et la pandémie a été un heureux hasard pour en parler. Je pense que le confinement a peut-être servi à prendre conscience de l’importance de la culture, on avait beaucoup de temps à meubler. »
Ainsi, Émilie Perreault a voulu montrer dans son livre les bienfaits de la culture, tant sur la santé que sur le moral de chaque individu. C’est même la mission qu’elle s’est donnée. Celle qui est à l’origine de la série documentaire Faire œuvre utile estime que l’art peut changer une vie et faire une différence notable chez ceux qui en consomment. Elle va jusqu’à dire qu’il est possible de changer une personne à la fois, grâce à la culture, et même par une œuvre d’art.
Émilie Perreault voit grand pour la culture, elle aimerait que les gens perçoivent la culture différemment pour en faire pratiquement une priorité, un besoin essentiel au lieu de la placer au bas de la liste lorsqu’il nous reste du temps.
« J’aimerais que l’on change le paradigme sur notre façon de consommer la culture », souligne celle qui est consciente du bienfait que la culture peut apporter. « On doit trouver du temps tous les jours pour la culture au lieu d’y consacrer du temps la fin de semaine, si l’agenda le permet, puisqu’il s’agit de quelque chose qui nous fait du bien. » C’est un peu comme s’adonner au sport, au départ on a du mal à trouver du temps à lui consacrer, puis une fois l’habitude prise, on ne veut plus passer à côté de ses avantages et bienfaits.
La culture en cadeau
Si certaines personnes ne peuvent se permettre de consommer autant de culture qu’elles le souhaiteraient, on pense notamment aux spectacles de musique, aux pièces de théâtre ou encore aux comédies musicales, l’auteure suggère d’offrir un billet de spectacle en guise de cadeau. Si on pense d’emblée à offrir un livre, l’idée de permettre à quelqu’un d’aller voir un spectacle est moins ancrée dans nos mœurs, mais l’idée est tout aussi bonne. « En offrant un billet de spectacle à un ami, on lui fait plaisir et en l’accompagnant on se fait plaisir du même coup », fait remarquer l’auteure.

Ayant bénéficié d’une mise à jour pour 2024, les VUS intermédiaires Volkswagen Atlas (trois rangées) et Atlas Cross Sport (deux rangées) ont vu leurs ventes canadiennes augmenter de plus de 22% l’an dernier. Ceux qui s’en sont procuré un doivent cependant prendre note d’un rappel de sécurité émis par le constructeur dans les derniers jours.

Ou plutôt, aurais-je dû troquer le mot «meilleur» contre «plus gourmand»? Parce que si on regarde l’évolution de cet aliment-plaisir, qui autrefois pouvait être décrit comme un simple petit bonheur de la vie, aujourd’hui, nous avons littéralement droit à de gargantuesques créations effrayamment décadentes. Si les biscuits suivant la nouvelle tendance peuvent en désenchanter quelques-uns, c’est apparemment tout le contraire pour beaucoup de Québécois, à voir les fourmillantes boutiques au concept de monoproduit. Que vous les préfériez dodus, farcis, minces ou croustifondants, voici quelques adresses qui sauront certainement combler votre rage de sucre.

La guerre commerciale qui sévit actuellement entre le Canada et les États-Unis entraînera des répercussions directes sur le coût de la vie en Amérique du Nord, et ce, pour les mois et peut-être même les années à venir. Le même sort attend l’industrie automobile qui sera forcée de s’ajuster rapidement devant cette application potentielle et imprévue de tarifs douaniers.