
Les vaccins intranasaux: la solution pour bloquer la transmission du coronavirus?
Le Journal de Montréal
Une étude rapporte que l’utilisation d’un vaccin intranasal comme dose de rappel permet de bloquer l’infection à la source, ce qui pourrait permettre d’empêcher la transmission interindividuelle du coronavirus.
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Les vaccins anti-Covid-19 actuellement disponibles sont extrêmement efficaces pour prévenir les formes graves et les décès liés à la maladie, mais leur capacité à prévenir l’infection est moindre, surtout pour des variants comme Omicron, qui échappent en grande partie à l’action des anticorps neutralisants.
Un autre facteur qui contribue à cette baisse d’activité contre les infections est que les anticorps (IgG) qui sont produits en réponse aux vaccins injectés dans les muscles sont principalement retrouvés dans le sang, avec seulement une minorité d’entre eux qui atteignent la muqueuse respiratoire du nez, la principale porte d’entrée du virus.
Autrement dit, les vaccins actuels sont indispensables pour former les soldats capables de neutraliser l’intrus après son entrée dans le corps, mais ils ne permettent pas cependant à ces soldats de se poster au point d’entrée du virus et de bloquer l’infection à la source.
Immunité mucosale
Les muqueuses respiratoires, en particulier la muqueuse nasale, sont en contact direct avec l’environnement extérieur et donc constamment exposées à des agents pathogènes présents dans l’air.
Ces muqueuses jouent donc un rôle de barrière extrêmement important et ont acquis au cours de l’évolution un système immunitaire qui leur est propre, utilisant une forme d’anticorps distincts (les IgA), qui agissent localement pour neutraliser les pathogènes.
Dans le cas du coronavirus responsable de la Covid-19, les études suggèrent que ces IgA jouent un rôle très important pour prévenir l’infection ; par exemple, on a récemment observé que les personnes vaccinées qui avaient des niveaux inférieurs d’IgA dans le mois suivant la deuxième dose étaient plus susceptibles de développer une infection(1).

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

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Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.




