Donald Trump ironise sur la démission de Chrystia Freeland
Le Journal de Montréal
Le président américain élu Donald Trump qui prend souvent un malin plaisir à tourner en dérision les dirigeants du Canada n’a pas laissé passer l’occasion d’en rajouter au sujet de la démission de la ministre des Finances Chrystia Freeland.
«Le grand État du Canada est abasourdi par la démission ou le renvoi de la ministre des Finances par le gouverneur Justin Trudeau», s’est amusé à réagir M. Trump dans son réseau social, Truth Social, lundi soir.
«Son comportement était totalement toxique et pas du tout propice à la conclusion de bons accords pour les très malheureux citoyens du Canada. Elle ne manquera à personne!» a commenté le milliardaire républicain.
Auparavant, Donald Trump avait qualifié le premier ministre Justin Trudeau de «gouverneur», après sa blague, lors d’un dîner à sa résidence de Mar-a-Lago, de rattacher le Canada comme 51e État à son voisin du Sud.
«J’ai hâte de revoir le gouverneur bientôt afin que nous puissions poursuivre nos discussions approfondies sur les tarifs douaniers et le commerce, dont les résultats seront vraiment spectaculaires pour tous!» avait ironisé M. Trump dans son réseau social le 10 décembre.
L’archipel des Bahamas a annoncé jeudi avoir refusé une proposition d’accueillir des migrants d’autres pays expulsés par les États-Unis sous Donald Trump, qui a promis de s’attaquer drastiquement à l’immigration illégale.
La police new-yorkaise recherche toujours activement jeudi le suspect qui a abattu par balle la veille le patron du premier assureur santé aux États-Unis, en plein cœur du quartier d’affaires de Manhattan, et enquête sur un assassinat «ciblé».
Après la censure du gouvernement, le premier ministre français, Michel Barnier, a présenté jeudi matin sa démission au président Emmanuel Macron, qui va s’adresser à la nation pour tenter de fixer un cap dans une période de grande incertitude, doublée d’une crise budgétaire.
Des milliers de Coréens ont manifesté mercredi soir dans les rues de Séoul pour demander la destitution du président conservateur Yoon Suk Yeol après sa tentative ratée d’imposer la première loi martiale dans le pays.
Donald Trump semble prendre un malin plaisir à s’amuser aux dépens du Canada. Après avoir proposé soi-disant à la blague d’annexer le pays aux États-Unis, le président élu a publié sur les réseaux sociaux, mercredi, une image de lui à côté d’un large drapeau canadien, au sommet d’une montagne, fixant l’horizon.
La nomination du «complotiste» Kash Patel à la tête du FBI semble avoir hâté la décision du président Joe Biden de gracier son fils Hunter, observe la journaliste indépendante à Washington Sonia Dridi.
Le président élu des États-Unis, Donald Trump, aurait suggéré à Justin Trudeau que le Canada devienne le 51e État américain.
La nomination du «complotiste» Kash Patel à la tête du FBI semble avoir hâté la décision du président Joe Biden de gracier son fils Hunter, observe la journaliste indépendante à Washington Sonia Dridi.
Washington a annoncé lundi une aide militaire supplémentaire pour l’Ukraine, évaluée à 725 millions de dollars et comprenant notamment des missiles et des mines antipersonnel, selon un communiqué du secrétaire d’État américain Antony Blinken.
Il avait répété à l’envi qu’il ne le ferait pas, mais il est revenu sur sa parole: Joe Biden a gracié son fils Hunter, empêtré dans plusieurs affaires judiciaires. De quoi provoquer l’indignation des républicains et le malaise jusque dans le camp démocrate.
Le président américain, Joe Biden, est finalement revenu sur sa parole en graciant, dimanche, à quelques semaines de son départ de la Maison-Blanche, son fils Hunter, qui attendait de connaître sa peine dans des affaires de détention illégale d’arme à feu et de fraude fiscale.