Costco: des produits de base moins chers qu'ailleurs
Le Journal de Montréal
Que ce soit pour du beurre, du yogourt, du café ou du savon à lessive, on peut réaliser des économies de plusieurs dollars sur les produits de base en allant au Costco plutôt qu’en allant à une bannière d’alimentation à bas prix.
Le Journal a réalisé une petite enquête en comparant des produits de même marque qu’on retrouve dans un entrepôt Costco et dans une bannière d’alimentation. Bien sûr, on a dû faire des calculs afin d’arrimer les prix selon les quantités.
Cependant, même si une carte de membre est requise, le client en a pour son argent en allant au Costco. Les 10 produits comparés sont moins chers qu’au Maxi ou au Super C.
Les écarts les plus considérables touchent le savon à lessive et le café. Les deux compagnies livrent un produit avec une quantité unique pour Costco.
Pendant qu’on retrouve un contenant Purex pour 110 brassées au supermarché, le client peut en faire 250 avec celui du Costco. Au niveau du prix, c’est 1,51$ de différence par litre de savon (voir tableau). En achetant au Costco, le consommateur peut sauver près de 65% par rapport à ce qu’il retrouve en épicerie.
On peut faire un constat identique avec le café Van Houtte. En achetant un contenant de 1,1kg, le client paye 19,99$. Il peut payer plus de 52% plus cher pour 100g du même produit.
La bannière Costco possède un modèle unique, selon Sylvain Charlebois.
Alors que le conflit entre Postes Canada et ses employés persiste, plusieurs citoyens se plaignent du prix que demandent les entreprises privées pour la livraison d’une lettre. Comment expliquer que ces dernières chargent jusqu’à 50 fois plus cher que le service fédéral?
Quelques-uns des plus importants détaillants du Québec demandent au fédéral de ramener Shein et Temu, les géants chinois du commerce en ligne, à l’ordre.
Le président de Lion Électrique, Nicolas Brunet, a démissionné le 1er décembre dernier, le jour même où le fabricant de véhicules électriques a remercié 400 employés, révèlent des documents de la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis.
Les compagnies de livraison sont complètement submergées par la demande à l’approche des Fêtes, en raison de la grève de Postes Canada. Un véritable «goulot d’étranglement» s’est créé dans leurs entrepôts, et de nombreuses PME québécoises en écopent.
Un automobiliste redoute toujours le moment où il doit aller au garage pour un problème majeur sur son véhicule. Il sait surtout que le montant de sa facture pourrait être très lourd à assumer.
De nombreuses PME souffrent énormément de la grève à Postes Canada qui sévit depuis trois semaines.
Les enchères pour impôts municipaux impayés sont parfois l’occasion de trouver des aubaines à une fraction de leur valeur marchande.
Une experte se demande si c’est vraiment le rôle d’une fondation bénéficiant de généreux crédits d’impôt de participer à la relance de Lion Électrique, qui est au bord du gouffre.
Des clients de Desjardins sont confus et en colère après s’être fait dire qu’ils devront attendre la fin de la grève à Postes Canada pour recevoir leur nouvelle carte de crédit, alors même que l’institution financière assure qu’elle se démène pour livrer les cartes le plus rapidement possible.
Pas de répit pour les familles québécoises, qui devront composer en 2025 avec une nouvelle hausse de jusqu’à 800$, prévoit un rapport.
Galvanisée par ses bons résultats financiers, Dollarama souhaite ouvrir 600 nouveaux magasins au Canada dans les 10 prochaines années.