Testé dans trois pays, Netflix sévit contre le partage des mots de passe
Le Journal de Montréal
C’était dans l’air depuis quelque temps, le partage des mots de passe est dans la mire du géant Netflix qui y voit une importante perte de revenus. Selon Netflix, de nombreux clients partagent leur compte de diffusion vidéo avec d’autres personnes qui n’habitent pas avec eux.
Ce que teste Netflix est en fait une hausse de ses tarifs pour ces abonnés peu scrupuleux ou trop gentils, selon votre point de vue.
Selon le site GamesRadar, les abonnés recevront un message qui leur permettra d'ajouter à leur abonnement des téléspectateurs qui ne vivent pas dans le foyer du titulaire du compte, et ce à un prix réduit : 2380 CLP au Chili, 2,99 USD au Costa Rica et 7,9 PEN au Pérou – respectivement en nos dollars 3,74, 3,85 et 2,68 $.
Sans doute en raison de sa forte popularité mondiale et de crainte de voir de nombreux abonnés partir chez la concurrence, Netflix semble préférer normaliser les cas de partage de compte, plutôt que de les sanctionner.
La politique de Netflix sur le nombre d’écrans avec lesquels on peut visionner simultanément semble porter à confusion chez les abonnés qui se disent « si je ne regarde qu’un ou deux écrans sur les quatre de mon forfait Premium, est-ce que ma sœur habitant une autre ville peut regarder Netflix avec sa télé ? ».
Selon une étude de CordCutting en 2019, le partage de compte ferait perdre à Netflix près de 240 millions de dollars canadiens par mois. Le même site estime aux États-Unis seulement à 88 millions le nombre de « comptes empruntés » chez Netflix et les autres diffuseurs comme Prime Video. Dans ce cas-ci, la perte représente près de 4 milliards $US par année.
Sur notre marché, Netflix haussera ses tarifs le 14 avril prochain. Par exemple, le forfait Premium (4 écrans et ultra HD) coûtera dorénavant 20,99 $. De leur côté, les tarifs de base (1 écran) et standard (2 écrans) demandent 9,99 et 16,49 $.
Des cartes plus puissantes, mais aussi capables de profiter des dernières avancées en intelligence artificielle pour repenser la manière dont les graphiques sont affichés dans les jeux vidéo: voilà, en gros, comment on pourrait résumer les nouvelles GeForce RTX 5090, 5080, 5070 Ti et 5070, dévoilées cette semaine par Nvidia au salon techno CES de Las Vegas.
«Est-on vraiment en guerre?» est-on porté à se demander en prenant connaissance du titre de cet essai du journaliste et militant écologiste Philippe Bélisle racontant les 20 dernières années de luttes que l’Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique (AQLPA) et son fondateur, André Bélisle (aucun lien de parenté), ont menées «dans l’intérêt du bien commun contre la cupidité des entreprises du secteur de l’énergie et la duplicité de certains de nos dirigeants politiques et de l’administration publique».
C’est officiel, les premières étoiles (Michelin) planent sur la province. Très bientôt, la scène culinaire du Québec sera internationalement dévoilée sous un angle nouveau, amenant son lot de couverture médiatique et l’attention des «gastro-touristes» de partout à travers le monde. Peu importe l’issue de cette liste, voici 25 restaurants qui, nommés ou non, méritent clairement votre attention – et une réservation – en 2025.
Modèle emblématique de la gamme Subaru, le Forester évolue doucement pour 2025. À l’extérieur, le constructeur japonais ne révolutionne pas son VUS, avec des phares amincis qui rejoignent une calandre plus volumineuse. C’est sensiblement la même chose à l’arrière, avec des feux moins proéminents sur le hayon et un pare-chocs revu. Subaru a visiblement voulu rassurer ses clients, avec un design dans la continuité du précédent.