
Subaru Forester 2025 : changement dans la continuité
Le Journal de Montréal
Modèle emblématique de la gamme Subaru, le Forester évolue doucement pour 2025. À l’extérieur, le constructeur japonais ne révolutionne pas son VUS, avec des phares amincis qui rejoignent une calandre plus volumineuse. C’est sensiblement la même chose à l’arrière, avec des feux moins proéminents sur le hayon et un pare-chocs revu. Subaru a visiblement voulu rassurer ses clients, avec un design dans la continuité du précédent.
Dans l’habitacle, il n’y a pas de bouleversements non plus. Le tableau de bord est plus droit qu’avant, et les boutons situés sur le volant ont été légèrement affinés. Le principal changement concerne les commandes de chauffage et de ventilation désormais intégrées en bas de l’écran central. Même chose pour la commande des sièges chauffants, qui quittent la console centrale pour s’ajouter au moniteur principal. Même si le tout est mieux intégré et plus intuitif que dans certains véhicules rivaux, il faut tout de même quitter la route des yeux, ce qui n’était pas le cas dans la génération précédente.
Cela dit, à part cette décision ergonomique discutable, l’habitacle du Forester demeure sensiblement identique à celui de l’ancienne génération. Et c’est une bonne chose car c’est un véhicule bien pensé et pratique pour les familles. Même les cadrans face au conducteur demeurent analogiques avec de bonnes vieilles aiguilles! Et pour tout vous dire, c’est peut-être moins techno, mais c’est parfaitement lisible et facile à consulter de jour comme de nuit.
L’habitacle est toujours spacieux et peut accueillir quatre adultes très confortablement. L’espace dévolu à la tête et aux jambes est impeccable et contrairement à beaucoup de véhicules actuels, la grande surface vitrée permet de profiter d’une excellente visibilité.
Dans le coffre, le volume de chargement avec les sièges arrière en place s’élève à 779 litres (838 pour le modèle d’entrée de gamme Commodité et 762 pour le Wilderness basé sur l'ancienne génération). C’est correct dans l’absolu, mais tout de même inférieur aux meilleurs joueurs de la catégorie (Toyota RAV4, Honda CR-V) qui approchent ou dépassent les 1 000 litres de contenance selon les versions.
L’inflation a fait son œuvre chez Subaru avec le nouveau Forester. En effet, mis à part le modèle d’entrée de gamme Commodité, toutes les autres versions sont vendues au-delà des 40 000 $.
Le Forester Commodité coûte 36 161 $, frais de transport et de préparation inclus. Doté du rouage intégral symétrique, d’Apple CarPlay et Android auto (avec fil) et des sièges chauffants, il convient déjà à une majorité d’acheteurs. Mais il est doté de deux écrans de 7 pouces au lieu du grand écran optionnel et il n’est pas possible de commander des options appréciées des consommateurs comme Apple CarPlay et Android Auto sans fil, le pavé de recharge pour téléphone cellulaire, le toit ouvrant et le volant chauffant. Pour obtenir ces équipements, il faut obligatoirement opter pour un modèle Tourisme (41 161 $) qui reçoit tous les équipements précédemment cités. De notre point de vue, il s’agit de la version la plus intéressante si vous tenez absolument à ces équipements.

C’était en 1997. À la demande des consommateurs, Acura Canada avait choisi de lancer une version endimanchée de la Civic (la 1.6 EL) : plus accessible et plus distinctive que la populaire compacte de Honda. Cette voiture a connu un grand succès chez nous, bien que les Américains n’y croyaient guère. Or, après deux générations de la EL et après la CSX (qui leur a succédé), nos voisins du Sud ont mordu à l’hameçon.

Séoul, Corée du Sud - La Hyundai Staria ne ressemble à aucune autre fourgonnette vendue sur notre marché. Les véhicules vendus de ce segment sont généralement dotés d’un design plutôt sage et passe-partout, histoire de ne pas brusquer les acheteurs. La seule exception à la règle, c’est évidemment la Volkswagen ID.Buzz, un modèle 100% électrique qui mise sur des couleurs vives et une certaine nostalgie pour séduire.

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En 2021, en pleine pandémie, un reportage mettait en lumière le parcours inspirant de Mélanie Blanchard, qui avait alors perdu 70 livres. À son poids le plus élevé, elle approchait les 400 lb, mais une transformation radicale de son mode de vie lui a permis d’éliminer 200 lb.