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Tempête hivernale: des clients québécois de Sunwing coincés dans le sud
Le Journal de Montréal
Des Québécois joints par TVA Nouvelles en Jamaïque se demandent à quel moment ils pourront retourner chez eux. Sur place, l’une des clientes de Sunwing, Joanie Beauchamp, a expliqué que plusieurs d’entre eux attendent depuis lundi un vol de retour avec leur transporteur aérien.
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Le retour vers Montréal était prévu le 17 février, mais il a été repoussé à mardi en raison de la tempête. Alors qu’ils attendaient dans le lobby de l’hôtel de la chaîne Bahia Principe de Montego Bay, ils ont appris avec désolation qu’il ne partirait pas avant mercredi après-midi.
Finalement, leur départ devrait se faire en soirée mercredi. Or, Mme Beauchamp raconte que l’avion qui va les ramener au Canada doit atterrir à Toronto et non à Montréal.
«Sunwing Airlines a pris la décision nécessaire d'annuler plusieurs vols au départ de l'aéroport international Pearson de Toronto, à destination du sud, qui étaient prévus le 19 et le 20 février, afin de privilégier le retour en toute sécurité des clients actuellement retardés dans leurs destinations en raison des récentes perturbations météorologiques, des contraintes de disponibilité des équipages et de la capacité hôtelière extrêmement limitée», a expliqué la compagnie aérienne.
«Cette décision opérationnelle difficile, mais essentielle nous permet de rediriger nos ressources pour ramener les clients [dont les vols ont été] retardés chez eux aussi rapidement et en toute sécurité que possible», a-t-on ajouté. «Nous nous excusons sincèrement pour la perturbation, et notre équipe continue de travailler avec diligence pour minimiser tout impact supplémentaire sur nos opérations et soutenir les passagers affectés, y compris ceux qui voyagent vers le Québec, et qui seront informés de toute mise à jour concernant leurs vols.»
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Une personne très proche de moi venait de mourir. Alors que je parlais avec un collègue psychologue, je n’ai pas pu m’empêcher de pleurer... et je me suis aussitôt empressée de m’excuser. J’ai alors eu droit à une réplique sans appel de sa part: «Ah non! Non!», m’a-t-il répété. Sa réponse m’a fait un grand bien, et j’y repense souvent. Il a refusé mes excuses, soulignant que mes émotions étaient non seulement légitimes, mais qu’elles s’exprimaient de la meilleure façon qui soit. La mort de cette personne m’avait profondément affligée, et il n’y avait aucune raison d’être gênée d’éprouver cette tristesse.
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L’annonce des plus récents résultats financiers de Nissan cette semaine s’est accompagnée de tristes nouvelles, comme la fermeture de trois usines dans le monde d’ici deux ans, l’élimination de quarts de travail aux États-Unis ainsi que des coupures d’emplois et de salaires. Officialisant la fin des discussions avec Honda en vue d’une fusion, la compagnie a aussi dit être la recherche de nouveaux partenaires qui l’aideront à poursuivre ses activités.