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Kia PV5 : la fourgonnette électrique qui veut elle aussi créer un buzz
Le Journal de Montréal
Suivant le concept présenté au CES 2024 à Las Vegas et tout récemment au Salon de l’auto de Montréal dans une version plus aventureuse, la nouvelle fourgonnette électrique PV5 de Kia se dévoile aujourd’hui dans sa forme de production. Très peu de choses semblent avoir changé au passage.
Ce véhicule sera commercialisé dans différents marchés, mais l’Amérique du Nord n’est pas encore confirmée. Il y aura des modèles de tourisme pour le transport de passagers et d’autres de type cargo à vocation plus commerciale, à l’instar de la Volkswagen ID. Buzz.
Par rapport à sa rivale allemande, la Kia PV5 adopte une silhouette plus carrée et haute de même qu’un faciès plus plat et, disons, moins enjoué. Le port de recharge se trouve justement en plein centre et de minces phares à la verticale sont placés dans les coins avant.
Le pare-brise tout comme les vitres latérales sont de grande dimension pour maximiser la visibilité. Sur le modèle cargo, bien sûr, le vitrage arrière est remplacé par des panneaux opaques et deux immenses portières à ouverture inversée se substituent au hayon.
Kia affirme que différentes configurations seront possibles, en plus des options de conversion permettant d’adapter la fourgonnette à des besoins variés.
Il n’y a malheureusement pas d’images de l’intérieur pour l’instant, ni de détails techniques autres que la plateforme e-CCPM (Electric Complete Chassis Platform Module) capable de fournir du courant à d’autres appareils ou même au réseau électrique. Des variantes à simple moteur et à double moteur seront sans doute offertes.
Tout sera plus clair la semaine prochaine à la suite de l’événement Kia EV Day à Tarragona, en Espagne, où la compagnie présentera également la berline EV4 (dévoilée un peu plus tôt) et le concept EV2. À suivre.
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Une personne très proche de moi venait de mourir. Alors que je parlais avec un collègue psychologue, je n’ai pas pu m’empêcher de pleurer... et je me suis aussitôt empressée de m’excuser. J’ai alors eu droit à une réplique sans appel de sa part: «Ah non! Non!», m’a-t-il répété. Sa réponse m’a fait un grand bien, et j’y repense souvent. Il a refusé mes excuses, soulignant que mes émotions étaient non seulement légitimes, mais qu’elles s’exprimaient de la meilleure façon qui soit. La mort de cette personne m’avait profondément affligée, et il n’y avait aucune raison d’être gênée d’éprouver cette tristesse.
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L’annonce des plus récents résultats financiers de Nissan cette semaine s’est accompagnée de tristes nouvelles, comme la fermeture de trois usines dans le monde d’ici deux ans, l’élimination de quarts de travail aux États-Unis ainsi que des coupures d’emplois et de salaires. Officialisant la fin des discussions avec Honda en vue d’une fusion, la compagnie a aussi dit être la recherche de nouveaux partenaires qui l’aideront à poursuivre ses activités.