Montréal, boudée au profit de la «Toronto de calvasse!» Montréal, boudée au profit de la «Toronto de calvasse!»
TVA Nouvelles
Mon ami Tony Marinaro et moi devenons très cyniques lorsqu’il est question de Montréal, ville de sport.
Je dis Montréal, mais je devrais dire le Québec en fait, car avec la perte des Nordiques en 1995, une perte dont je souffre encore terriblement, c’est tout le Québec qui, lentement mais sûrement, est dépossédé de ses atouts sportifs au profit de la vraie métropole du trop grand pays, la grande idole en papier, la Toronto de calvasse.
Montréal a ses charmes, c’est vrai. Elle a le Canadien, qui demeure l’équipe de hockey la plus célèbre, la plus reconnue et la plus titrée au monde...
Montréal a une équipe en MLS... ou du moins un restant d’équipe en MLS. Le meilleur circuit professionnel des trois Amériques, mais il est convenu et très juste de se demander pour combien de temps encore.
Montréal règne de nouveau sur le football canadien, merci à Pierre Karl Péladeau sans qui peut-être que Montréal ne serait même plus membre de la Ligue canadienne de football.
On se doutait bien dans les dernières semaines que quelque chose ne tournait pas rond chez les Rangers de New York. Mais voilà que la cascade d’événements qui a plongé l’organisation dans une véritable crise est documentée par le journaliste Vincent Z. Mercogliano du Rockland/Westchester Journal News dans un article coup de poing.