
Le ballet des oies des neiges à Baie-du-Febvre entre la route 132 et le lac Saint-Pierre, à l’est de Sorel-Tracy
Le Journal de Montréal
Elles sont arrivées. Depuis le 20 mars, elles ont commencé à être nombreuses dans les champs inondés de Baie-du-Febvre entre la route 132 et le lac Saint-Pierre, à l’est de Sorel-Tracy.
Jusqu’à la mi-avril, nous devrions être dans le pic de la migration. Comme chaque année ou presque, un demi-million d’oies des neiges en provenance de la côte atlantique pourraient faire une halte, avant de repartir vers l’Arctique pour nicher.
L’an dernier, elles sont restées moins longtemps que d’habitude. Peut-être sont-elles parties parce qu’il n’y avait plus d’eau dans les champs, ce qui les protège moins des prédateurs comme le renard ou le coyote.
Lors de leur halte, les oies mangent des graines laissées au sol après la récolte de l’automne précédent. Cela leur permet de se faire des graisses, carburant nécessaire pour leur long périple vers le nord.
Lors de leur première fois, plusieurs visiteurs s’attendent à voir tout de suite des envolées de milliers d’oies. Ça peut arriver. Pour avoir droit à un tel spectacle, il faut habituellement un peu de chance et de patience.
Et pour avoir de la patience, mieux vaut bien s’habiller. Avec le vent, ce n’est pas chaud.
Il faut savoir qu’il y a plusieurs mouvements d’oies durant la journée entre les champs le long de la route 132 et d’autres à l’intérieur des terres ou plus près du lac Saint-Pierre.

De nos jours, les camionnettes sont plus nombreuses que jamais. Les constructeurs ont compris que ces véhicules étaient bien plus qu’un simple outil de travail. Avec la prolifération des cabines d’équipe – et des équipements luxueux du XXIe siècle –, il n’est pas rare de voir une famille troquer le format utilitaire pour un camion pleine grandeur presque aussi confortable et beaucoup plus pratique au quotidien.

La Genesis G90 a beau être l’un des véhicules les moins vendus sur le marché canadien, mais elle revêt toujours de l’importance pour la marque de luxe coréenne à l’échelle mondiale. Celle-ci nous en donne la preuve au Salon de l’auto de Séoul cette semaine en dévoilant des concepts de coupé et de cabriolet dérivés de la grande berline sous le thème « Découvrir une nouvelle ère de Genesis ».

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Lancé en 2010 comme modèle 2011, le RVR avait alors connu un succès instantané, découlant de sa bouille sympathique et de son format pratique. On lui reprochait déjà un léger manque de raffinement, mais face à un Jeep Compass ou à un Suzuki SX4, on lui trouvait bien des avantages. Hélas, l’industrie allait accueillir au cours des années qui suivirent de nombreux concurrents.