
L’Érablière Charbonneau, entre verger et montagne
Le Journal de Montréal
Le site charme au premier coup d’œil. En bois rond, la pittoresque cabane à sucre se dresse au pied du mont Saint-Grégoire, aux abords du chemin du Sous-Bois.
À quelques pas, se trouve uplà, une attraction familiale où sont accrochés dans les arbres des trampolines géants et des petites cabanes colorées reliées par des passerelles.
Quand nous sommes arrivés, un bon dimanche après-midi, il y avait beaucoup de monde. Ceux qui sortaient de la cabane à sucre se rendaient à une autre cabane, pour déguster de la tire d’érable.
Des enfants s’amusaient dans des modules de jeux en bois, lesquels s’harmonisent avec la cabane à sucre. Tout près partaient des tours de voiture tirée par un tracteur.
Le trajet passe par l’érablière puis par les Vergers Denis Charbonneau, jusqu’à leur boutique où l’on fait une halte. Un jus de pommes chaud à la cannelle nous est offert.
Pour notre part, nous en avons profité pour nous procurer un cidre mousseux de la Cuvée du Frère André, produit par la cidrerie des vergers. Nous avons acheté du sirop d’érable aussi.
Les vergers portent le nom du père de Mélanie Charbonneau, la copropriétaire de l’érablière. Ce sont ses parents et elle qui ont acquis le site en 2004 pour y ériger une cabane à sucre.

Les vacances déconnectées, ou la «détox numérique» de quelques jours font partie depuis les dernières années des tendances voyage. Parions qu’en cette période, disons-le, pour le moins anxiogène, cette manière de voyager ne sera pas près de disparaître et qu’elle continuera de connaître un engouement certain. Et pas besoin d’aller bien loin pour ce faire!