COP26: voyage sur la planète écolo
Le Journal de Montréal
GLASGOW, Écosse | Déambuler parmi les kiosques des pays à la COP26 permet de prendre conscience de la complexité de coordonner la lutte aux changements climatiques, même si le tout a parfois des airs de foire commerciale.
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À Glasgow, les pays se font compétition pour les meilleurs pieds carrés dans la salle des pavillons. Une sorte d’Expo 67 de la planète écolo.
Parmi les kiosques les plus convoités, les Émirats arabes unis avaient réussi mercredi à attirer l’ex-secrétaire d’État américain (et actuel envoyé spécial du président pour le climat), John Kerry, et le fondateur de Microsoft, Bill Gates, venus parler d’innovation dans la lutte aux changements climatiques.
Contraste frappant
Au moment de quitter la scène, John Kerry a croisé une délégation de peuples autochtones d’Amérique du Sud, coiffés de plumes traditionnelles. Le contraste avec l’émissaire de la puissante nation américaine, entouré de ses gardes du corps, était frappant.
Quelques pas plus loin, le Danemark, un important producteur pétrolier, vantait sa stratégie pour sortir du carbone en misant sur l’économie d’énergie par les citoyens du royaume.
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