«Opération séduction» pour IKEA avec des réductions importantes de prix en octobre
Le Journal de Montréal
Plusieurs produits d’IKEA connaîtront une forte baisse de prix dans le but de ramener les clients dans les succursales, estime un expert.
• À lire aussi: IKEA lance son propre Marketplace
«On est vraiment dans une opération de séduction de la clientèle pour les faire venir en magasin», a affirmé Philippe Richard Bertrand, PDG d’Illuxi, samedi, à LCN.
La compagnie suédoise va en effet réduire de 25% les prix de son assortiment de cuisine pour le mois d’octobre.
La campagne sera assez coûteuse, mais pourrait être très bénéfique pour l’entreprise.
«Ce qu’on veut, c’est de donner des articles en rabais pour amener le consommateur dans le magasin qui va sûrement acheter d’autres choses», explique-t-il.
À cause de la hausse de l’inflation, la population «cherche les items au rabais plus que jamais». C’est pour cette principale raison que le géant des meubles a adopté cette stratégie, pense M. Bertrand.
Le spécialiste lance un avertissement aux consommateurs à la potentielle surconsommation que cette vente pourrait occasionner.
Il invite la population à s’interroger sur l’utilité du produit avant de l’acheter.
Le manque de bornes de recharge publiques demeure un enjeu important pour les propriétaires de véhicules électriques. Selon un sondage de l’Association canadienne des automobilistes (CAA) auprès de 16 000 utilisateurs de VE au Canada, 7 conducteurs sur 10 sont insatisfaits du nombre de bornes sur le territoire canadien.
Le domaine de l’automobile a été fertile en rebondissements au cours de la dernière année. L’annonce surprise de la suspension temporaire des incitatifs gouvernementaux, les hauts et les bas du prix de l’essence et la tentative de percée des véhicules chinois sur le marché canadien ont retenu l’attention.
«On n’est vraiment plus dans une situation de pénurie généralisée de main-d’œuvre», estime l’économiste principale de Desjardins. Alors que Montréal accueille près de 60% des nouveaux arrivants et que la croissance de la population a frôlé les 2,3% cette année au Québec, l’emploi n’a pas suivi, avec un timide bond de 0,5%.