Vous souvenez-vous de la… Mercury Cougar?
Le Journal de Montréal
On dit que les chats ont neuf vies. Eh bien, figurez-vous que les cougars en ont 8… du moins dans le monde de l’auto.
Retour sur celle qui aurait dû marquer le renouveau de Mercury.
Née comme une variante huppée de la Ford Mustang en 1967, la Mercury Cougar a connu une carrière mouvementée. Lorsque la Mustang rapetisse en 1974 pour devenir Mustang II, elle s’enligne sur le châssis de la Torino. Puis, en 1977, la Cougar devient une cousine de la Ford LTD II pour les Cougar de base et de la Thunderbird pour les versions XR7. Pour 1980, elle repose sur la plate-forme Fox. Ainsi, entre 1977 et 1982, elle sera vendue, selon les années, en 2 portes, 4 portes et même… en familiale (pour les millésimes 77 et 82). Heureusement, elle redevient un pur coupé à partir de 1983, toujours basée sur la T-Bird.
Après des années d’un design dit « Aero look », Ford introduit une nouvelle tendance stylistique baptisée « New Edge design ». Celle-ci est imaginée par le designer français Claude Lobo et se distingue par « des surfaces tendues délimitées par des arcs propres et des intersections nettes ». Parmi les véhicules « New Edge », on peut citer la Ka (1996), la Focus (lancée en 1998 en Europe et en 2000 en Amérique) ainsi que la Mustang restylée en 1999. Afin de préparer le public, Ford présente à l’été 1997 le concept Mercury MC4 puis à l’automne le concept Mercury MC2, qui préfigure clairement la future Cougar.
À la fin du millésime 1997, Ford rationalise son offre de coupés et fait disparaître la Ford Probe ainsi que le duo Thunderbird/Cougar. Mais la compagnie à l’ovale bleu travaille déjà au remplacement de la Probe. Cette fois-ci, elle sera basée sur une plate-forme maison, la CDW27, plutôt que sur un châssis Mazda.
Celle-ci est issue d’un développement mondial qui aura coûté 6 milliards de dollars pour remplacer les Ford Sierra en Europe et les Ford Tempo et Mercury Topaz en Amérique du Nord par, respectivement, les Mondeo (1993), Contour et Mystique (1995).
La ville de Calgary n’est pas nécessairement reconnue pour sa culture automobile, mais cela n’empêche pas les amateurs albertains de s’intéresser à tout ce qui a quatre roues et un volant. D’ailleurs, pour ceux et celles qui préfèrent l’automobile antique, l’Heritage Park, un musée dédié à l’histoire de l’Ouest canadien, propose aussi l’exposition permanente Gasoline Alley.
Alors que les températures plongent et que la neige recouvre le Québec, le Maroc offre un contraste saisissant avec son climat doux, ses paysages variés et sa richesse culturelle. Bien appréciée des Européens pour s’échapper de la saison grise, cette destination propose des tout inclus intéressants et des forfaits clé en main qui promettent une évasion hivernale où culture et détente sont au rendez-vous.
Des partys et des virées à l’hôtel, des achats réguliers d'alcool et l’adoption de deux chats à des fins de zoothérapie: la direction générale d’une petite ville de la Montérégie a dépensé des milliers de dollars sur la carte de crédit de la municipalité pour alimenter la vie sociale de ses employés.
L’hiver bat son plein au Québec, vous n’en pouvez plus de la grisaille, vous êtes fatigué et vous manquez d’énergie? Alors, pourquoi ne pas effectuer un petit séjour en Floride dans le comté de Palm Beach, là où l’on trouve de superbes plages, de nombreux golfs et des villes dynamiques comme Boca Raton, Delray Beach et West Palm Beach, sans oublier son île barrière, Palm Beach?