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Les 15 meilleures choses à faire à Athènes (à part visiter l’Acropole)
Le Journal de Montréal
Aller à Athènes sans visiter l’Acropole? Impossible! Pareil pour les vestiges de l’Agora à ses pieds, qui nous replongent directement dans nos cours d’histoire et de philosophie. Mais la capitale grecque est loin d’être figée dans le temps et on prend aussi bien plaisir à découvrir ses murales, ses tavernes et son chaos que ses incroyables ruines antiques.
Nos suggestions se concentrent surtout dans les quartiers centraux de Plaka, Monastiraki et Psirri.
Au pied de l’Acropole, Plaka, la vieille ville, est assurément l’une des plus jolies parties d’Athènes avec ses villas néoclassiques, ses églises byzantines et son labyrinthe de petites rues commerçantes. Sur l’artère piétonne Adrianou, on s’étonne presque autant du nombre de terrasses que des vues sur les vestiges de l’Agora antique. Cela dit, soyez d’attaque pour un bain de foule: ce quartier touristique est extrêmement achalandé, surtout en haute saison.
S’il n’en tenait qu’à nous, on serait encore à Athènes en train de «tester» des tavernes grecques! Ce type d’établissement, qui est un peu l’équivalent grec des trattorias en Italie, propose une cuisine authentique et abordable dans une ambiance sans prétention. On s’y régale de mezzes (tapas version grecque), de (vraie) salade grecque, de viandes grillées et autres mets du pays, que l’on peut arroser d’ouzo (boisson grecque anisée) ou de vin maison pour quelques euros.
Suggestions dans le quartier Psyrri:
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Une personne très proche de moi venait de mourir. Alors que je parlais avec un collègue psychologue, je n’ai pas pu m’empêcher de pleurer... et je me suis aussitôt empressée de m’excuser. J’ai alors eu droit à une réplique sans appel de sa part: «Ah non! Non!», m’a-t-il répété. Sa réponse m’a fait un grand bien, et j’y repense souvent. Il a refusé mes excuses, soulignant que mes émotions étaient non seulement légitimes, mais qu’elles s’exprimaient de la meilleure façon qui soit. La mort de cette personne m’avait profondément affligée, et il n’y avait aucune raison d’être gênée d’éprouver cette tristesse.