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Le nouveau Toyota 4Runner 2025 sera dévoilé très bientôt, à quoi s’attendre?
Le Journal de Montréal
L’un des dévoilements les plus attendus de l’année est juste à nos portes. Le 9 avril, on découvrira le Toyota 4Runner de nouvelle génération, qui sera commercialisé en tant que modèle 2025.
Quelques aperçus ont été publiés sur les réseaux sociaux dans les derniers jours, montrant d’abord le bas du hayon et le pare-chocs arrière, puis maintenant le haut du hayon avec la vitre coulissante à commande électrique.
Le vénérable 4Runner conserve donc son poste dans une gamme de VUS de Toyota qui continue de s’agrandir, notamment avec les Grand Highlander et Land Cruiser. Ce dernier est lui aussi conçu pour s’aventurer hors route, mais le nouveau 4Runner offrira aux amateurs une alternative plus abordable.
Sur le plan technique, il s’apparentera davantage à la camionnette intermédiaire Tacoma, comme c’était le cas dans le passé. Ça signifie le même châssis et les mêmes motorisations, incluant un quatre cylindres turbocompressé de 2,4 litres développant 278 chevaux et une variante hybride de ce même moteur qui fournit 326 chevaux mais surtout un couple de 465 lb-pi.
Rappelons que le V6 de 4 litres du 4Runner sortant génère 270 chevaux et 278 lb-pi de couple. Ce n’est vraiment pas un champion de l’économie d’essence, chose que la cylindrée réduite et l’électrification du nouveau modèle permettront d’améliorer.
Un autre changement majeur se trouvera à bord du véhicule, avec de tout nouveaux affichages et un système multimédia résolument moderne, tel qu’entrevu sur la photo au haut de la page. On s’attend bien sûr à ce que les designers de Toyota nous gardent de gros boutons physiques, comme dans le Tacoma. Tout sera mis en œuvre pour maximiser la polyvalence et l’aspect pratique du 4Runner dans une optique d’aventure.
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Une personne très proche de moi venait de mourir. Alors que je parlais avec un collègue psychologue, je n’ai pas pu m’empêcher de pleurer... et je me suis aussitôt empressée de m’excuser. J’ai alors eu droit à une réplique sans appel de sa part: «Ah non! Non!», m’a-t-il répété. Sa réponse m’a fait un grand bien, et j’y repense souvent. Il a refusé mes excuses, soulignant que mes émotions étaient non seulement légitimes, mais qu’elles s’exprimaient de la meilleure façon qui soit. La mort de cette personne m’avait profondément affligée, et il n’y avait aucune raison d’être gênée d’éprouver cette tristesse.