
Le Mazda CX-50 remplacera-t-il le CX-5?
Le Journal de Montréal
Je m’intéresse beaucoup au Mazda CX-5, car il fait partie de la liste de véhicules qui pourraient remplacer mon Ford Escape 2013. Or, j’ai vu que Mazda a dévoilé le CX-50. Viendra-t-il remplacer l’actuel CX-5? Merci de bien vouloir m’éclairer puisque j’en perds mon latin avec la nomenclature de Mazda.
-------------------------
Bonjour Denise,
En effet, Mazda a dévoilé cet automne le nouveau CX-50 2023. Plus long, plus large et plus trapu que le CX-5, il vient s’ajouter à la gamme actuelle du constructeur japonais. Selon les plans évoqués par Mazda, le CX-50 côtoiera le CX-5. Il n’est pas prévu que ce nouveau VUS remplace le populaire CX-5.
Histoire d’éviter la cannibalisation de ces deux véhicules qui, somme toute, sont très similaires, Mazda vise une clientèle qui a soif d’aventures avec le CX-50. En effet, alors qu’on ne s’est jamais réellement intéressé aux consommateurs qui ont envie ou besoin de circuler sur d’autres surfaces que l’asphalte, on tente une première incursion dans cet univers. Notons que le CX-50 est muni du système Mi-Drive (Mazda Intelligence Drive Select) qui saura ajuster le comportement du véhicule en fonction de la route.
Il faut savoir que le Mazda CX-50 partage bon nombre de composantes avec le CX-5. En effet, en plus de lui emprunter sa plateforme, il partage aussi ses deux mécaniques. Les acheteurs pourront opter pour une version atmosphérique ou turbocompressée du moteur à quatre cylindres de 2,5 L. Quant à la transmission, il s’agit d’une automatique à six rapports.
Pour l’heure, l’échelle de prix et les cotes de consommation n’ont pas encore été divulguées par Mazda Canada. Bien que nous soyons déjà familiers avec les composantes du nouveau CX-50, nous n’avons pas encore pu faire l’essai de ce nouveau modèle.

Une personne très proche de moi venait de mourir. Alors que je parlais avec un collègue psychologue, je n’ai pas pu m’empêcher de pleurer... et je me suis aussitôt empressée de m’excuser. J’ai alors eu droit à une réplique sans appel de sa part: «Ah non! Non!», m’a-t-il répété. Sa réponse m’a fait un grand bien, et j’y repense souvent. Il a refusé mes excuses, soulignant que mes émotions étaient non seulement légitimes, mais qu’elles s’exprimaient de la meilleure façon qui soit. La mort de cette personne m’avait profondément affligée, et il n’y avait aucune raison d’être gênée d’éprouver cette tristesse.