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La Volkswagen Golf GTI d’hier à aujourd’hui
Le Journal de Montréal
Au cours de cet épisode du balado Au volant avec Gabriel Gélinas, l’animateur fait un survol de la riche histoire de la Volkswagen Golf GTI.
La compacte à hayon est née au courant des années 70, durant la crise pétrolière. En effet, elle a été lancée lors du Salon de l’auto de Francfort, en Allemagne, en septembre 1975. La GTI sera commercialisée par la suite en Europe dès l’année suivante.
La GTI de première génération était animée par un moteur quatre cylindres de 1,6 litre développant 110 chevaux. La voiture ne pesait que 800 kg. Par ailleurs, elle effectuait le sprint du 0-100 km/h en un peu plus de neuf secondes. La vitesse de pointe atteignait 180 km/h.
Esthétiquement, le bolide se distinguait par rapport à la Beetle, grâce à sa forme carrée. Bâtie sur la même plateforme que la Golf de base, la GTI avait tout de même quelques éléments stylistiques qui lui étaient propres. Pensons à la sellerie au tissu écossais, à la bande rouge sur la calandre et au levier de vitesse en forme de balle de golf que nous retrouvons encore aujourd’hui à bord de la huitième génération.
Malgré tout, la haute direction de Volkswagen ne croyait pas que la GTI allait devenir un succès, explique le journaliste. Elle prévoyait produire 5 000 exemplaires. Pire encore, le département des ventes estimait que seulement 500 modèles seraient écoulés.
Nul ne s’attendait à vendre plus de 450 000 unités en l’espace de huit ans avec la première génération...
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Une personne très proche de moi venait de mourir. Alors que je parlais avec un collègue psychologue, je n’ai pas pu m’empêcher de pleurer... et je me suis aussitôt empressée de m’excuser. J’ai alors eu droit à une réplique sans appel de sa part: «Ah non! Non!», m’a-t-il répété. Sa réponse m’a fait un grand bien, et j’y repense souvent. Il a refusé mes excuses, soulignant que mes émotions étaient non seulement légitimes, mais qu’elles s’exprimaient de la meilleure façon qui soit. La mort de cette personne m’avait profondément affligée, et il n’y avait aucune raison d’être gênée d’éprouver cette tristesse.