Beaucoup d’armes et de stupéfiants saisis à nos frontières québécoises
Le Journal de Montréal
Pas moins de 1500 armes et pièces d’armes prohibées ont été saisies aux différents postes frontaliers du territoire québécois au cours de la dernière année.
Dans son bilan des faits saillants de ses opérations, l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) indique que ces «interceptions ont empêché l’entrée de ces armes au pays et dans nos communautés».
L’ASFC a également fait connaître certaines de ses plus importantes saisies de stupéfiants:
Fentanyl: Le 12 février, à l’aéroport Montréal-Trudeau, les douaniers ont saisi 1165 timbres de Fentanyl dans les valises d’un voyageur canadien. La valeur de cette saisie s’élève à environ un quart de million de dollars. Un suspect a été arrêté dans ce dossier.
Opium: Le 15 février, un colis renfermant 2,6 kg d’opium a été confisqué à l’établissement de traitement du courrier international Léo-Blanchette, à Montréal. La valeur de cette saisie est estimée à 156 000 $. À la suite de son enquête, la Gendarmerie royale du Canada (GRC) a épinglé un suspect dans cette affaire.
Amphétamine: Le 11 juillet, des agents des services frontaliers de l’aéroport Montréal-Trudeau ont mis la main sur 25 kg d’amphétamine, dont la valeur s’élève à près de 1,5 million de dollars. C’est un voyageur en provenance du Moyen-Orient qui tentait d’entrer au pays avec cette importante quantité de drogue. Ce dernier a été arrêté.
Enfin, lors de la même journée du 15 octobre, deux voyageurs qui avaient dans leur voiture respective d’inquiétants bagages ont été refoulés à la frontière et renvoyés chez eux, aux États-Unis.
L’un d’eux a été intercepté au poste frontalier de Noyan, en Montérégie, avec une arme à feu prohibée et un chargeur contenant 19 balles.
Quant à l’autre, il a tenté d’entrer au Québec via le poste frontalier de Stanstead avec deux chargeurs haute capacité pour AK-47, un chargeur haute capacité pour une arme de calibre .22, une grenade désamorcée et une petite quantité de cannabis.
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