Grosse vague d’amour pour Maripier
Le Journal de Montréal
Des centaines d’admirateurs de Maripier Morin ont fait la file pendant des heures, certains ayant même parcouru des centaines de kilomètres, pour participer à une vente de ses vêtements au profit d’organismes de lutte contre les dépendances, dans un commerce de Québec, samedi.
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Dix-huit mois après avoir été dénoncée par Safia Nolin et avoir perdu pratiquement tous ses contrats dans la foulée, Maripier Morin a vécu de très chaleureuses retrouvailles lors de ce qui était son premier bain de foule depuis son retrait de la vie publique.
Son père, Gabriel Morin, était très touché de la réaction du public.
« C’est une vague d’amour incroyable. Pour elle, ça valide beaucoup de choses. Ça va lui faire un bien énorme, ça va la rassurer. »
« La file d’attente le prouve. Des gens la soutiennent, malgré tout ce qui s’est passé », a fait remarquer Nancy Néron, après avoir complété ses emplettes.
Dans les bras de Maripier
Après 19 mois à parcourir la planète pour chanter ses succès dans des stades remplis de Swifties hystériques, la plus grande vedette de notre époque, Taylor Swift, s’amène enfin au Canada – six concerts à guichets fermés à Toronto à partir de jeudi, puis trois à Vancouver en décembre – pour mettre un point final à la tournée la plus lucrative de l’histoire de la musique.
Installé à New York tout l’automne, l’humoriste Mathieu Dufour se demandait si la Grosse Pomme allait «virer à l’envers» le soir de l’élection américaine, au moment où Le Journal l’a contacté, mardi après-midi. «J’ai bien hâte de voir s’il va y avoir des répercussions», a dit celui qui en a profité pour annoncer un nouveau spectacle de Noël avec une chorale de 100 chanteurs.
Pour la journaliste et chroniqueuse d’origine haïtienne Anne-Lovely Etienne, le regretté Herby Moreau a représenté un monde des possibles en devenant l’une des premières figures de la communauté noire à avoir couvert – et à avoir fait partie – du star-system québécois. «Il m’a permis de me dire: moi aussi, je peux le faire», confie-t-elle.
Les Cowboys Fringants ont poursuivi sur leur lancée dimanche soir. Après avoir vu l’album et la comédie musicale Pub Royal rafler cinq Félix mercredi, lors des deux premiers galas, le groupe de Repentigny a ajouté trois statuettes à sa cagnotte au principal Gala de l’ADISQ, animé par Pierre-Yves Roy-Desmarais. Parions qu’il y a un Karl Tremblay qui était bien fier de ses comparses là-haut.