Voici les 21 films à voir pendant le temps des Fêtes
Le Journal de Montréal
Petits et grands cinéphiles auront l’embarras du choix pendant les congés des fêtes, alors que les studios rivalisent d’histoires et d’effets spéciaux pour les attirer en salle. Voici les 21 films qui illumineront durablement le temps des fêtes.
Dérivé de la série télévisée L’œil du cyclone, ce film d’Alain Chicoine du temps des fêtes suit Isabelle Gagnon (Christine Beaulieu) et les siens à 10 jours de la date fatidique de Noël. Fatidique? Oui, car Isabelle est bien décidée à faire de ces fêtes une réussite... mais tout le monde a d’autres projets. On retrouve Patrick Hivon, Catherine Souffront, Danielle Proulx, Luc Senay ainsi que Véronique Cloutier, Michèle Richard et Louise Portal.
Sortie le 8 novembre
Lucius (Paul Mescal), fils de Maximus (incarné dans le premier film par Russell Crowe), est capturé par les Romains (le général romain est campé par Pedro Pascal). Acheté par Macrinus (Denzel Washington), Lucius rêve de se venger. Réalisé par Ridley Scott d’après un scénario de David Scarpa, son fréquent collaborateur, ce Gladiateur II a été entièrement tourné à Malte et a bénéficié d’un budget de production de 250M$ US.
Sortie le 22 novembre
Installé à New York tout l’automne, l’humoriste Mathieu Dufour se demandait si la Grosse Pomme allait «virer à l’envers» le soir de l’élection américaine, au moment où Le Journal l’a contacté, mardi après-midi. «J’ai bien hâte de voir s’il va y avoir des répercussions», a dit celui qui en a profité pour annoncer un nouveau spectacle de Noël avec une chorale de 100 chanteurs.
Pour la journaliste et chroniqueuse d’origine haïtienne Anne-Lovely Etienne, le regretté Herby Moreau a représenté un monde des possibles en devenant l’une des premières figures de la communauté noire à avoir couvert – et à avoir fait partie – du star-system québécois. «Il m’a permis de me dire: moi aussi, je peux le faire», confie-t-elle.
Les Cowboys Fringants ont poursuivi sur leur lancée dimanche soir. Après avoir vu l’album et la comédie musicale Pub Royal rafler cinq Félix mercredi, lors des deux premiers galas, le groupe de Repentigny a ajouté trois statuettes à sa cagnotte au principal Gala de l’ADISQ, animé par Pierre-Yves Roy-Desmarais. Parions qu’il y a un Karl Tremblay qui était bien fier de ses comparses là-haut.
Ils sont au cœur de la chanson québécoise et créent des œuvres qui marquent des générations et des moments de vie à jamais; pourtant, en plus de vivre dans l’ombre, les paroliers québécois ne parviennent pas à gagner leur vie avec leur passion. «Personne ne peut vivre de sa plume en chanson au Québec en ce moment », estime la parolière Ève Déziel.
Finalistes dans sept catégories, dont quatre au gala dominical, Les Cowboys Fringants ont tous les éléments en main pour être les grands gagnants de l’ADISQ cette année. L’excellent album Pub Royal, tiré de la comédie musicale du même nom et auquel le chanteur Karl Tremblay a prêté sa voix avant son décès, a été acclamé de toutes parts à sa sortie au printemps. Si cela s’avérait le chant du cygne pour les Cowboys, ils auraient de quoi partir la tête très haute. Voici les coups de cœur et prédictions de nos journalistes pour ce 46e Gala de l’ADISQ.
Une rare visite à Montréal pour Bruce Springsteen: le «Boss» fait les choses en grand au Centre Bell
Après avoir fait languir ses amateurs montréalais pendant 16 longues années, Bruce Springsteen a rappelé à tout le monde qui était le patron au Centre Bell.