«On est encore sur un nuage»: deux Swifties québécoises racontent leur soirée magique à Toronto
Le Journal de Montréal
Deux «Swifties» québécoises ont vécu une soirée magique en assistant au concert de leur idole, vendredi soir, à Toronto.
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En entrevue à LCN, Florence Lamoureux et Marianne Bessette, toutes deux âgées de la vingtaine, ont raconté comment elles étaient encore sous le charme du spectacle offert par Taylor Swift la veille.
«Je pense qu’aujourd’hui, même en se réveillant quelques heures plus tard après la fin du spectacle, on est encore sur un nuage», a mentionné Marianne Bessette.
Les deux femmes ont affirmé avoir été particulièrement touchées par l’ambiance qui régnait au Rogers Centre.
«On dirait que tant que tu n’es pas à l’intérieur du stade, tu ne réalises pas [le niveau] d’énergie de tous les autres fans à l’intérieur qui chantent en même temps que toi, qui ont leur bracelet de lumière qui vibre en même temps que toi aussi. Je pense que ça, tu ne le réalises pas avant d’être au spectacle sur place», explique Florence Lamoureux.
«Moi hier, je n’y croyais pas avant qu’elle entre sur scène. Puis quand il y a eu le décompte qui apparaissait avec l’horloge au tableau en avant, tout le monde se regardait. Moi, j’ai pris Marianne par le bras, j’ai eu tellement de frissons», ajoute-t-elle.
Installé à New York tout l’automne, l’humoriste Mathieu Dufour se demandait si la Grosse Pomme allait «virer à l’envers» le soir de l’élection américaine, au moment où Le Journal l’a contacté, mardi après-midi. «J’ai bien hâte de voir s’il va y avoir des répercussions», a dit celui qui en a profité pour annoncer un nouveau spectacle de Noël avec une chorale de 100 chanteurs.
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Les Cowboys Fringants ont poursuivi sur leur lancée dimanche soir. Après avoir vu l’album et la comédie musicale Pub Royal rafler cinq Félix mercredi, lors des deux premiers galas, le groupe de Repentigny a ajouté trois statuettes à sa cagnotte au principal Gala de l’ADISQ, animé par Pierre-Yves Roy-Desmarais. Parions qu’il y a un Karl Tremblay qui était bien fier de ses comparses là-haut.
Ils sont au cœur de la chanson québécoise et créent des œuvres qui marquent des générations et des moments de vie à jamais; pourtant, en plus de vivre dans l’ombre, les paroliers québécois ne parviennent pas à gagner leur vie avec leur passion. «Personne ne peut vivre de sa plume en chanson au Québec en ce moment », estime la parolière Ève Déziel.
Finalistes dans sept catégories, dont quatre au gala dominical, Les Cowboys Fringants ont tous les éléments en main pour être les grands gagnants de l’ADISQ cette année. L’excellent album Pub Royal, tiré de la comédie musicale du même nom et auquel le chanteur Karl Tremblay a prêté sa voix avant son décès, a été acclamé de toutes parts à sa sortie au printemps. Si cela s’avérait le chant du cygne pour les Cowboys, ils auraient de quoi partir la tête très haute. Voici les coups de cœur et prédictions de nos journalistes pour ce 46e Gala de l’ADISQ.
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