Et si l’intelligence artificielle nous aidait à passer à la semaine de quatre jours?
Le Journal de Montréal
De nombreux observateurs nourrissent l’espoir que les intelligences artificielles génératives permettront d’importants gains de productivité. Deux études, nouvellement parues, viennent appuyer cette théorie et affirment même que ces technologies pourraient contribuer à la généralisation de la semaine de travail de quatre jours.
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Ces articles ont été publiés par Autonomy, un think tank qui se consacre à la lutte contre le changement climatique, à l'avenir du travail et à la planification économique. Ils analysent les effets de l’utilisation de l’IA sur les mains d’oeuvre britannique et américaine.
On y apprend que cette technologie pourrait permettre à 28% des travailleurs du Royaume-Uni de voir leur semaine de travail passer de 40 à 32 heures d'ici 2033. Ils pourraient donc aisément accomplir les tâches professionnelles qui leur incombent en quatre jours, au lieu de cinq. Et ce, tout en conservant le même salaire.
À en croire Autonomy, 35 millions d'actifs américains pourront bénéficier du même phénomène. L’organisation estime que 28% de la masse salariale des États-Unis pourra passer à la semaine de quatre jours d’ici une dizaine d’années.
Par ailleurs, 71% des travailleurs américains pourraient voir leur temps de travail réduit d'au moins 10% s’ils utilisaient les grands modèles de langage (LLM) [programmes capables de générer des réponses automatiques à des questions formulées par écrit] dans leur quotidien professionnel. Un pourcentage qui passe à 88% au Royaume-Uni.
Ces gains de productivité s’expliquent par le fait que les outils d’IA générative automatiseront des tâches répétitives et chronophages, ce qui permettrait aux salariés de se consacrer à des missions à plus forte valeur ajoutée. Mais aussi à leur vie en dehors du bureau.
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