[EN IMAGES] Vous pouvez faire le party dans l’ancienne maison de Céline Dion pendant les vacances
Le Journal de Montréal
L’ancienne propriété de Céline Dion à Laval, conçue et construite pour Maman Dion, est à louer sur la plateforme Airbnb à 1100$ la nuit.
• À lire aussi: Un magnifique hommage à Céline Dion
• À lire aussi: «Même si tu es malade, il faut que tu chantes»: le chanteur Barnev s'ouvre sur sa collaboration de longue date avec Céline Dion
• À lire aussi: Mort d’une nièce de Céline Dion: sa fille livre un touchant témoignage
Avec une «vue imprenable sur l’eau», la villa de huit chambres à coucher et quatre salles de bains peut accueillir jusqu'à 17 personnes, en plus des «compagnons à quatre pattes». Dotée d’un grand garage double tout équipé pour laver les voitures, la résidence de 6000 pieds carrés, entièrement meublée, inclut aussi trois foyers.
La maison est disponible pour les intéressés d’ici et les touristes depuis le 23 décembre. «Nous avons été réservés presque chaque jour depuis le début», souligne François Duplantie, un promoteur immobilier de Laval qui a acheté la demeure au prix de 2,1 millions $ en 2023, soit trois ans après le décès de Thérèse Tanguay, la mère de Céline Dion, qui habitait la maison.
«Le prix minimal est de 1100$ la nuit pour 17 personnes, mais nous avons un rabais en ce moment pour les trois premières locations Airbnb», précise celui qui est aussi propriétaire de l’entreprise Construction Novatek.
Construite en 2002, la résidence de l’avenue Thérèse-Casgrain dans le quartier Sainte-Rose, à Laval, a été occupée par Maman Dion jusqu’à son décès en janvier 2020. Son mari et père de Céline, Adhémar Dion, y a aussi vécu quelque temps, jusqu’à son décès en novembre 2003.
Alors qu’il manque encore 16 000 travailleurs sur le plancher dans nos magasins et que cela pèse lourd sur les épaules de 47% des employés, selon un nouveau sondage de Léger obtenu par Le Journal, les détaillants craignent le pire si on vient les priver en plus de leurs travailleurs étrangers temporaires (TET).
Le port de Montréal enclenche son premier jour de lock-out lundi dans le conflit de travail qui oppose l’Association des employeurs maritimes (AEM) et le Syndicat des débardeurs du port de Montréal. Un arrêt de travail qui aura des conséquences économiques «immédiates» et majeures si le conflit se prolonge.