Rod Stewart a besoin d'un chapiteau pour accueillir toute sa famille à Noël
Le Journal de Montréal
Rod Stewart et Penny Lancaster ont assuré avec humour qu'ils auraient besoin d'un chapiteau pour pouvoir fêter Noël avec leur « immense » famille.
La personnalité de la télévision a reconnu qu'il n'y avait pas assez d'espace dans leur maison, dans le comté anglais de l'Essex, pour tous ses enfants et petits-enfants pour la saison des fêtes. « Nous avons un Noël tellement énorme en famille que Rod a parlé d'acheter un chapiteau juste pour la table à manger », a déclaré Penny Lancaster à HELLO!.
La légende du rock a huit enfants avec cinq femmes et est désormais grand-père de trois petits-enfants. Le couple n'a pas révélé lesquels de ses enfants leur rendraient visite, ainsi qu'à leurs fils Alistair, 18 ans, et Aiden, 12 ans.
Après Noël, le chanteur de Maggie May et la présentatrice de l'émission Loose Women se rendront en Écosse pour célébrer Hogmanay, le 31 décembre. « Nous n'avons jamais fait Hogmanay, donc ce sera notre premier en Écosse, a-t-il précisé. Il y aura du whisky à gogo. »
Alors qu'il a maintenant 78 ans, Rod Stewart a affirmé qu'il se sent toujours aussi énergique et agile à l'approche de la nouvelle année. « Je ne sens pas mon âge, je me sens bien, s'est-il exclamé. Je m'entraîne beaucoup et j'ai l'air fantastique. »
Rod Stewart et Penny Lancaster sont mariés depuis 2007.
Après 19 mois à parcourir la planète pour chanter ses succès dans des stades remplis de Swifties hystériques, la plus grande vedette de notre époque, Taylor Swift, s’amène enfin au Canada – six concerts à guichets fermés à Toronto à partir de jeudi, puis trois à Vancouver en décembre – pour mettre un point final à la tournée la plus lucrative de l’histoire de la musique.
Installé à New York tout l’automne, l’humoriste Mathieu Dufour se demandait si la Grosse Pomme allait «virer à l’envers» le soir de l’élection américaine, au moment où Le Journal l’a contacté, mardi après-midi. «J’ai bien hâte de voir s’il va y avoir des répercussions», a dit celui qui en a profité pour annoncer un nouveau spectacle de Noël avec une chorale de 100 chanteurs.
Pour la journaliste et chroniqueuse d’origine haïtienne Anne-Lovely Etienne, le regretté Herby Moreau a représenté un monde des possibles en devenant l’une des premières figures de la communauté noire à avoir couvert – et à avoir fait partie – du star-system québécois. «Il m’a permis de me dire: moi aussi, je peux le faire», confie-t-elle.
Les Cowboys Fringants ont poursuivi sur leur lancée dimanche soir. Après avoir vu l’album et la comédie musicale Pub Royal rafler cinq Félix mercredi, lors des deux premiers galas, le groupe de Repentigny a ajouté trois statuettes à sa cagnotte au principal Gala de l’ADISQ, animé par Pierre-Yves Roy-Desmarais. Parions qu’il y a un Karl Tremblay qui était bien fier de ses comparses là-haut.
Ils sont au cœur de la chanson québécoise et créent des œuvres qui marquent des générations et des moments de vie à jamais; pourtant, en plus de vivre dans l’ombre, les paroliers québécois ne parviennent pas à gagner leur vie avec leur passion. «Personne ne peut vivre de sa plume en chanson au Québec en ce moment », estime la parolière Ève Déziel.
Finalistes dans sept catégories, dont quatre au gala dominical, Les Cowboys Fringants ont tous les éléments en main pour être les grands gagnants de l’ADISQ cette année. L’excellent album Pub Royal, tiré de la comédie musicale du même nom et auquel le chanteur Karl Tremblay a prêté sa voix avant son décès, a été acclamé de toutes parts à sa sortie au printemps. Si cela s’avérait le chant du cygne pour les Cowboys, ils auraient de quoi partir la tête très haute. Voici les coups de cœur et prédictions de nos journalistes pour ce 46e Gala de l’ADISQ.