Des textes de Voltaire vieux de 250 ans trouvés à Sherbrooke
Le Journal de Montréal
Plus d’une centaine de textes inédits de Voltaire ont été trouvés à Sherbrooke après avoir été conservés depuis deux siècles et demi dans la famille d’un historien de North Hatley.
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Ce sont 119 lettres, 48 poèmes ainsi que des centaines de pages de la main de Voltaire et de son secrétaire, ou portant sur lui, qui se trouvaient dans la famille de l’historien Peter Southam et qui ont été numérisés récemment à l’Université de Sherbrooke.
Voltaire, de son vrai nom François-Marie Arouet, est l’un des plus grands philosophes et écrivains français du 18e siècle.
Ces œuvres seront bientôt disponibles grâce à la Voltaire Fondation de l’Université d’Oxford, en Angleterre.
Éditrice de référence de l’œuvre de Voltaire, cette fondation vient de publier ses Œuvres complètes, qui comptent plus de 200 volumes. La découverte sherbrookoise apporte de nouvelles pierres à cet édifice.
Le temps est venu
« Il est temps de faire connaître ces textes à travers le monde. Voltaire fait encore l’objet d’un grand intérêt scientifique », mentionne Peter Southam, professeur d’histoire à la retraite.
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Installé à New York tout l’automne, l’humoriste Mathieu Dufour se demandait si la Grosse Pomme allait «virer à l’envers» le soir de l’élection américaine, au moment où Le Journal l’a contacté, mardi après-midi. «J’ai bien hâte de voir s’il va y avoir des répercussions», a dit celui qui en a profité pour annoncer un nouveau spectacle de Noël avec une chorale de 100 chanteurs.
Pour la journaliste et chroniqueuse d’origine haïtienne Anne-Lovely Etienne, le regretté Herby Moreau a représenté un monde des possibles en devenant l’une des premières figures de la communauté noire à avoir couvert – et à avoir fait partie – du star-system québécois. «Il m’a permis de me dire: moi aussi, je peux le faire», confie-t-elle.
Les Cowboys Fringants ont poursuivi sur leur lancée dimanche soir. Après avoir vu l’album et la comédie musicale Pub Royal rafler cinq Félix mercredi, lors des deux premiers galas, le groupe de Repentigny a ajouté trois statuettes à sa cagnotte au principal Gala de l’ADISQ, animé par Pierre-Yves Roy-Desmarais. Parions qu’il y a un Karl Tremblay qui était bien fier de ses comparses là-haut.
Ils sont au cœur de la chanson québécoise et créent des œuvres qui marquent des générations et des moments de vie à jamais; pourtant, en plus de vivre dans l’ombre, les paroliers québécois ne parviennent pas à gagner leur vie avec leur passion. «Personne ne peut vivre de sa plume en chanson au Québec en ce moment », estime la parolière Ève Déziel.
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