De «Deadpool & Wolverine» à «Furiosa: une saga Mad Max»: voici 25 films qu’on a hâte de voir cet été
Le Journal de Montréal
La rencontre tant attendue entre Deadpool et Wolverine, de nouveaux films Mad Max et La planète des singes et le retour des Minions: comme chaque année, Hollywood sort ses gros canons pour séduire les cinéphiles pendant la belle saison. Plusieurs films québécois tenteront eux aussi de tirer leur épingle du jeu. Le Journal vous propose un survol de 25 films qui feront l’événement cet été.
Après avoir incarné un Ken délirant dans Barbie l’an passé, l’acteur canadien Ryan Gosling se transforme en cascadeur pour cette nouvelle comédie d’action du réalisateur David Leitch (John Wick, Bullet Train), qui s’annonce assez musclée merci. Adapté d’une série télé des années 1980, Le cascadeur met aussi en vedette Emily Blunt et Aaron Taylor-Johnson.
Ce dixième film de la mythique franchise de La planète des singes fait un saut dans le temps et nous transporte dans le futur, plusieurs générations après le règne de César, le héros des trois longs métrages précédents, parus en 2011, en 2014 et en 2017. Or, ce qui devait arriver est arrivé: les singes sont désormais l’espèce dominante et les humains sont réduits à devoir se cacher.
Après avoir réalisé les thrillers horrifiques Un coin tranquille 1 et 2, l’acteur et réalisateur John Krasinski change de registre pour offrir ce film familial mélangeant animation et prises de vues réelles et mettant en vedette Ryan Reynolds et Cailey Fleming. Amis imaginaires raconte l’histoire d’une jeune fille qui découvre qu’elle a la capacité de voir et de parler à des créatures imaginaires.
Après 19 mois à parcourir la planète pour chanter ses succès dans des stades remplis de Swifties hystériques, la plus grande vedette de notre époque, Taylor Swift, s’amène enfin au Canada – six concerts à guichets fermés à Toronto à partir de jeudi, puis trois à Vancouver en décembre – pour mettre un point final à la tournée la plus lucrative de l’histoire de la musique.
Installé à New York tout l’automne, l’humoriste Mathieu Dufour se demandait si la Grosse Pomme allait «virer à l’envers» le soir de l’élection américaine, au moment où Le Journal l’a contacté, mardi après-midi. «J’ai bien hâte de voir s’il va y avoir des répercussions», a dit celui qui en a profité pour annoncer un nouveau spectacle de Noël avec une chorale de 100 chanteurs.
Pour la journaliste et chroniqueuse d’origine haïtienne Anne-Lovely Etienne, le regretté Herby Moreau a représenté un monde des possibles en devenant l’une des premières figures de la communauté noire à avoir couvert – et à avoir fait partie – du star-system québécois. «Il m’a permis de me dire: moi aussi, je peux le faire», confie-t-elle.
Les Cowboys Fringants ont poursuivi sur leur lancée dimanche soir. Après avoir vu l’album et la comédie musicale Pub Royal rafler cinq Félix mercredi, lors des deux premiers galas, le groupe de Repentigny a ajouté trois statuettes à sa cagnotte au principal Gala de l’ADISQ, animé par Pierre-Yves Roy-Desmarais. Parions qu’il y a un Karl Tremblay qui était bien fier de ses comparses là-haut.
Ils sont au cœur de la chanson québécoise et créent des œuvres qui marquent des générations et des moments de vie à jamais; pourtant, en plus de vivre dans l’ombre, les paroliers québécois ne parviennent pas à gagner leur vie avec leur passion. «Personne ne peut vivre de sa plume en chanson au Québec en ce moment », estime la parolière Ève Déziel.
Finalistes dans sept catégories, dont quatre au gala dominical, Les Cowboys Fringants ont tous les éléments en main pour être les grands gagnants de l’ADISQ cette année. L’excellent album Pub Royal, tiré de la comédie musicale du même nom et auquel le chanteur Karl Tremblay a prêté sa voix avant son décès, a été acclamé de toutes parts à sa sortie au printemps. Si cela s’avérait le chant du cygne pour les Cowboys, ils auraient de quoi partir la tête très haute. Voici les coups de cœur et prédictions de nos journalistes pour ce 46e Gala de l’ADISQ.