Atteinte d’un cancer du sein, Diane Lavallée prend une pause professionnelle
Le Journal de Montréal
La comédienne Diane Lavallée, alias Thérèse Paré dans La petite vie, doit prendre une pause professionnelle en raison du cancer du sein qu’on lui a diagnostiqué.
Ce retrait de la scène fait en sorte qu’elle ne pourra pas jouer cet été dans la pièce Appelez-moi Stéphane à la Maison des arts Desjardins Drummondville, dans le Centre-du-Québec.
Caroline Bouchard interprétera Gilberte à la place de Diane Lavallée, qu’on a vue récemment dans la série Alertes, à TVA. Elle sera aussi cet été dans le film musical Nos belles-sœurs, de René Richard Cyr.
«Ayant été opérée et devant recevoir des traitements de radiothérapie, il me devenait impossible d’assister aux répétitions et de monter sur scène pour la période estivale. Je dois prioriser ma santé et retrouver ma forme. Je serai en pensée avec mes camarades de théâtre. Je remercie Monarque Productions de m’épauler dans cette période de turbulence», a mentionné Diane Lavallée, dans un communiqué.
On a précisé que par respect pour la comédienne âgée de 68 ans, aucune entrevue ne sera accordée à ce sujet.
Diane Lavallée, qui a une longue carrière sur scène, à la télé et au cinéma, est la mère de la comédienne Laurence Leboeuf.
La comédie Appelez-moi Stéphane, de Claude Meunier et de Louis Saia, sera présentée du 28 juin au 17 août à la Maison des arts Desjardins Drummondville. Plus d’information est disponible en ligne.
Après 19 mois à parcourir la planète pour chanter ses succès dans des stades remplis de Swifties hystériques, la plus grande vedette de notre époque, Taylor Swift, s’amène enfin au Canada – six concerts à guichets fermés à Toronto à partir de jeudi, puis trois à Vancouver en décembre – pour mettre un point final à la tournée la plus lucrative de l’histoire de la musique.
Installé à New York tout l’automne, l’humoriste Mathieu Dufour se demandait si la Grosse Pomme allait «virer à l’envers» le soir de l’élection américaine, au moment où Le Journal l’a contacté, mardi après-midi. «J’ai bien hâte de voir s’il va y avoir des répercussions», a dit celui qui en a profité pour annoncer un nouveau spectacle de Noël avec une chorale de 100 chanteurs.
Pour la journaliste et chroniqueuse d’origine haïtienne Anne-Lovely Etienne, le regretté Herby Moreau a représenté un monde des possibles en devenant l’une des premières figures de la communauté noire à avoir couvert – et à avoir fait partie – du star-system québécois. «Il m’a permis de me dire: moi aussi, je peux le faire», confie-t-elle.
Les Cowboys Fringants ont poursuivi sur leur lancée dimanche soir. Après avoir vu l’album et la comédie musicale Pub Royal rafler cinq Félix mercredi, lors des deux premiers galas, le groupe de Repentigny a ajouté trois statuettes à sa cagnotte au principal Gala de l’ADISQ, animé par Pierre-Yves Roy-Desmarais. Parions qu’il y a un Karl Tremblay qui était bien fier de ses comparses là-haut.
Ils sont au cœur de la chanson québécoise et créent des œuvres qui marquent des générations et des moments de vie à jamais; pourtant, en plus de vivre dans l’ombre, les paroliers québécois ne parviennent pas à gagner leur vie avec leur passion. «Personne ne peut vivre de sa plume en chanson au Québec en ce moment », estime la parolière Ève Déziel.
Finalistes dans sept catégories, dont quatre au gala dominical, Les Cowboys Fringants ont tous les éléments en main pour être les grands gagnants de l’ADISQ cette année. L’excellent album Pub Royal, tiré de la comédie musicale du même nom et auquel le chanteur Karl Tremblay a prêté sa voix avant son décès, a été acclamé de toutes parts à sa sortie au printemps. Si cela s’avérait le chant du cygne pour les Cowboys, ils auraient de quoi partir la tête très haute. Voici les coups de cœur et prédictions de nos journalistes pour ce 46e Gala de l’ADISQ.