«L’homme de ma vie pour l’éternité»: la conjointe de Jean-Pierre Ferland lui rend un hommage rempli d’amour
Le Journal de Montréal
La conjointe de Jean-Pierre Ferland a publié, sur Facebook, un message rempli d’amour à son compagnon des 16 dernières années qui l’a quittée samedi dernier: Jean-Pierre Ferland.
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«Tu seras toujours l’homme de ma vie pour l’éternité! Je t’aime et je t’aimerai toujours!» a confié Julie Anne Saumur jeudi matin en partageant de superbes photos de son grand amour, dont une en compagnie de ses amis Yvon Deschamps et Gilles Vigneault.
S’adressant à «mon homme, mon amoureux, mon trésor, mon ami, mon mari, mon âme sœur et mon chéri», elle se souvient des «belles choses» et des beaux moments qu’elle a partagés avec le chanteur.
«Merci pour ton humour, tes faces exceptionnelles, ton million dollars smile, ton amour, ta tendresse et tes rires!» écrit-elle.
«Ce n’était pas toujours facile, mais je ne regrette rien de ces si belles années à tes côtés et j’en prendrais d’autres!» a ajouté sa conjointe.
Elle dit aussi merci à tous les gens qui lui ont envoyé des messages depuis le décès du petit roi, avant de s’adresser une dernière fois son «bel amour»: «Merci d’être passé dans ma vie! Je ne t’oublierai jamais! Merci tellement pour tout mon homme!», dit-elle.
Plusieurs admirateurs et vedettes québécoises lui ont laissé de beaux commentaires de soutien, dont la chanteuse Diane Tell qui a écrit «De tout cœur avec toi ma Julie Anne. Ta présence fut sa chance, son amour veillera toujours sur toi.»
Après 19 mois à parcourir la planète pour chanter ses succès dans des stades remplis de Swifties hystériques, la plus grande vedette de notre époque, Taylor Swift, s’amène enfin au Canada – six concerts à guichets fermés à Toronto à partir de jeudi, puis trois à Vancouver en décembre – pour mettre un point final à la tournée la plus lucrative de l’histoire de la musique.
Installé à New York tout l’automne, l’humoriste Mathieu Dufour se demandait si la Grosse Pomme allait «virer à l’envers» le soir de l’élection américaine, au moment où Le Journal l’a contacté, mardi après-midi. «J’ai bien hâte de voir s’il va y avoir des répercussions», a dit celui qui en a profité pour annoncer un nouveau spectacle de Noël avec une chorale de 100 chanteurs.
Pour la journaliste et chroniqueuse d’origine haïtienne Anne-Lovely Etienne, le regretté Herby Moreau a représenté un monde des possibles en devenant l’une des premières figures de la communauté noire à avoir couvert – et à avoir fait partie – du star-system québécois. «Il m’a permis de me dire: moi aussi, je peux le faire», confie-t-elle.
Les Cowboys Fringants ont poursuivi sur leur lancée dimanche soir. Après avoir vu l’album et la comédie musicale Pub Royal rafler cinq Félix mercredi, lors des deux premiers galas, le groupe de Repentigny a ajouté trois statuettes à sa cagnotte au principal Gala de l’ADISQ, animé par Pierre-Yves Roy-Desmarais. Parions qu’il y a un Karl Tremblay qui était bien fier de ses comparses là-haut.
Ils sont au cœur de la chanson québécoise et créent des œuvres qui marquent des générations et des moments de vie à jamais; pourtant, en plus de vivre dans l’ombre, les paroliers québécois ne parviennent pas à gagner leur vie avec leur passion. «Personne ne peut vivre de sa plume en chanson au Québec en ce moment », estime la parolière Ève Déziel.
Finalistes dans sept catégories, dont quatre au gala dominical, Les Cowboys Fringants ont tous les éléments en main pour être les grands gagnants de l’ADISQ cette année. L’excellent album Pub Royal, tiré de la comédie musicale du même nom et auquel le chanteur Karl Tremblay a prêté sa voix avant son décès, a été acclamé de toutes parts à sa sortie au printemps. Si cela s’avérait le chant du cygne pour les Cowboys, ils auraient de quoi partir la tête très haute. Voici les coups de cœur et prédictions de nos journalistes pour ce 46e Gala de l’ADISQ.